Article rédigé par resistancerepublicaine.com, le 31 décembre 2021
Source [resistancerepublicaine.com] Quelle est la différence entre Macron et Pécresse ? Aucune sinon que Valérie Traitresse est une femme.
Car finalement, en dictature sanitaire comme sur d’autres sujets, Macresse ou Pécron, c’est kif-kif-bourricot.
Sans surprise donc, avec les hypocrites socialos d’Hidalgo, Valérie Pécresse et son groupe LR voteront pour le pass vaccinal* et la mise en place d’une forme d’apartheid sanitaire.
* Seul Eric Zemmour s’y oppose vraiment, les autres candidats à la Présidentielle 2022 Jadot-Mélenchon-Le Pen se contentant de le critiquer mollement.
A bientôt trois mois de l’élection présidentielle , le sujet a bien sûr pris une tournure politique. Alors que le projet de loi sur le passe vaccinal était présenté lundi en Conseil des ministres, les candidats de droite comme de gauche se sont prononcés ces derniers jours sur ce nouvel outil du gouvernement pour lutter contre la nouvelle vague de Covid 19 […]
Naturellement, l’instauration de ce passe vaccinal n’a pas manqué de faire réagir les candidats à la présidentielle. Mais avec des positions très variées.
La porte-étendard des Républicains Valérie Pécresse a indiqué qu’elle approuvait sa mise en place. Elle a toutefois précisé que la « privation de liberté doit être proportionnée à la protection de la santé » et que ce passe vaccinal devait être réservé aux lieux de loisirs et non aux lieux de travail, comme cela a été un temps évoqué.
[La] candidate socialiste Anne Hidalgo , [rappelle] que les parlementaires PS plaident depuis de long mois pour l’instauration de cette vaccination obligatoire.
La députée PS Valérie Rabault, porte-parole de la candidate, a d’ailleurs indiqué que son groupe parlementaire votera en faveur du texte, tout en regrettant « l’hypocrisie » du gouvernement sur ce sujet.
Chez les autres candidats de gauche, le discours est assez différent. L’écologiste Yannick Jadot a [rappelé] que l’obligation vaccinale n’était pas recommandée par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), et qu’il préférait donc « être à l’écoute de ce que disent les scientifiques ».
Jean-Luc Mélenchon [a dénoncé] « les méthodes brutales » du gouvernement [et] la candidate du RN Marine Le Pen a fustigé le « cynisme » du gouvernement, qui « impose une vaccination obligatoire déguisée qu’il avait pourtant promis de ne pas faire » et a déploré une « perte de plus en plus lourde de nos libertés individuelles ».
Quant à l’autre candidat d’extrême droite Eric Zemmour, déjà farouchement opposé au passe sanitaire, il estime que ce nouvel outil n’est qu’un contre-feu, le gouvernement cherchant selon lui à « instaurer une lutte des classes vaccinale afin d’empêcher les Français de s’intéresser aux sujets sur lesquels Emmanuel Macron est en difficulté ».