Article rédigé par Atlantico, le 28 septembre 2021
Source [Atlantico] Dans le sillage du mouvement Black Lives Matter et après la mort de George Floyd, le maintien de l'ordre a reculé aux Etats-Unis. Les chiffres liés aux taux d'homicides dans des villes comme Chicago ou New York ont depuis connu une forte hausse en 2020.
Chaque jour plus noyée dans les abîmes du nombrilisme-narcissisme libidinal, l'Amérique vomit sa "diversité", pourtant exaltée par les gourous libéraux-libertaires. Exaspérés par leur perpétuelle mise au rancart et relégation aux ghettos, les Noirs n'y supportent plus les violences policières. George Floyd étranglé par un policier le 25 mai 2020 : la poudrière explose. Excitée par des médias "progressistes", la gauche libertaire massacre les budgets d'une police qu'elle veut même abolir. Le maintien de l'ordre s'effondre, arrestations et contrôles freinent fort. Résultat brutal : Chicago 2020, - 53% d'arrestations, + 65% d'homicides ; New York, moins 38% d'interpellations, 100 assassinats de plus.
Cette séquence délirante n'est pas la première de l'histoire des États-Unis, navire sans quille livré à tous vents. Son résultat : une hécatombe de Noirs. Dans ses pires délires, le "Sorcier Impérial" du Ku Klux Klan n'aurait jamais osé en rêver la moitié.
Pourtant, nulle guerre entre Noirs et Blancs aux États-Unis. L'étude minutieuse du ministère de la Justice pour 2018, dernière année expertisée, révèle que, sur les ± 14 000 homicides de l'année, 6 750 précisent la race ; 48% du total, échantillon représentatif. Là-dessus, 2 925 victimes noires (incluant les métis en Amérique), dont 2 600 tués par d'autres Noirs. Lesquels ? Les chiffres de 2019 révèlent que les 15-34 ans noirs forment 2% de la population et 37% des assassinés ; 50% des homicides advenant dans les guerres de gangs juvéniles, où dominent les minorités raciales.
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