Article rédigé par Boulevard Voltaire, le 11 août 2021
Le bobard climatique continue : un nouveau rapport alarmiste du GIEC est sorti.
Depuis quelques jours, la presse subventionnée et les journaux télévisés sont en ébullition avec l’annonce du dernier rapport du GIEC sur le climat, et son « avertissement le plus sévère jamais lancé ». Depuis le début de l’été –par malchance un été très maussade et froid sur une grande partie de la France-, tout ce beau monde préparait la sortie de ce rapport pour les décideurs, en faisant feu de tout bois, pour générer la peur et rendre les esprits réceptifs : dôme de chaleur de quelques jours sur le Canada, inondations en Belgique, fonte très brève de la couverture de glace du Groenland…
Cette préparation était nécessaire, car comme l’a souligné Bjørn Lomborg, ancien directeur de l’Environmental Assessment Institute de Copenhague dans un de ses tweet, cela fait cinquante ans que les directeurs successifs du Programme Environnement des Nations unies (dont dépend le GIEC) nous préviennent du « désastre » si l’on ne fait rien. Ainsi, en 1972, selon Maurice Strong, il nous restait dix ans pour arrêter la catastrophe. En 1982, le nouveau directeur nous prédisait « une catastrophe environnementale aussi irréversible qu’un holocauste nucléaire » vers les années 2000. En 1989, nous devions stopper le changement climatique pour 1999 avant qu’il n’échappe à notre contrôle. En 2007, Rajendra Pachauri disait : « S’il n’y a aucune action avant 2012, il sera trop tard »… et ainsi de suite.
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