Article rédigé par Valeurs actuelles, le 27 avril 2020
Source [Valeurs actuelles] Le mois saint des musulmans n'a rien de sain et vire comme chaque année au bal des hypocrites, estime Mehdi Aifa, militant LGBT de culture musulmane.
Le ramadan, mois saint des musulmans, s’ouvre en même temps qu’un bal un peu particulier, celui des hypocrites. Ce mois d’expiation, d’introspection personnelle et spirituelle, où la foi doit être plus forte, l’orthopraxie plus intense et l’orthodoxie ardemment étudiée, où la solidarité et la charité sont au cœur de ce 4e pilier de l’islam, est contradictoirement, le mois de tous les excès. On festoie comme des rois, on se gave à en vomir, on dépense sans compter, quitte à s’endetter pour avoir tous les soirs une tablée bien garnie quitte à oublier l’essentiel, la modération.
Cette surconsommation entraîne un gaspillage contraire aux textes religieux. Ce mois exacerbe toutes les frustrations. La frustration sexuelle qui accompagne ce mois de privation est telle, qu’en Egypte, à la nuit tombée, les activités liées à la prostitution augmentent de plus de 200%. Certaines prostituées se prostituent exclusivement pendant le mois du ramadan. Un mois saint très lucratif pour l’économie du sexe.
La consommation d’alcool, quant à elle, est réduite dans les pays musulmans – les points de vente ferment un mois avant le début du ramadan – a contrario des drogues, qui elles, augmentent. Un rapport du CHU Ibn Rochd à Casablanca estime la hausse de la consommation de psychotropes pendant le mois du ramadan entre 10 et 15%. En France, le trafic de drogues provenant des banlieues islamisées ne s’arrêtent pas pendant le ramadan. Elles tournent au contraire à plein régime.
Ces musulmans, qui toute l’année ont un comportement délictuel, suivent ce mois saint comme une mode, de l’aube au crépuscule ce sont des anges, une fois la nuit tombée, les vieux démons réapparaissent. Ces caricatures en quamis, survêtements Lacoste et chaussures TN en dessous, entretiennent l’archétype même de la racaille de banlieue. Ils tiennent les murs et font la loi dans ces zones de non droit.
Retrouvez l'intégralité de l'article en cliquant ici