Article rédigé par Liberté politique, le 16 octobre 2019
Quand l’armée française, surnommée, les murs de la République tremblent et le politiquement correct se fait déchirer. Le général Martinez, connu pour ses prises de positions claires et nettes, vient de publier un texte ravageur. Nous vous en livrons le moment fort. Attention: cette déclaration est 0% politiquement correcte.
“L’islamophobie n’est que la conséquence logique de la teneur des textes fondateurs de l’islam et les carnages que leur application radicale produit à travers le monde“, déclare le général en défendant l’attitude que les médias et les élites veulent nous faire croie indéfendable — une saine méfiance vis-à-vis de l’islam.
“En refusant de nommer l’ennemi, les responsables politiques commettent une lourde faute et mettent en danger la vie des citoyens“, observe le militaire avec justesse. “Le déni de réalité dont se rend coupable l’État est grave et criminel. Et cet ennemi est à présent, non plus seulement sur le territoire, mais au cœur même de l’État, dans nos institutions, dans nos services publics, dans nos transports, dans notre police, dans nos armées.”
Ce constat appelle nécessairement quelques interrogations. “Par exemple, combien de soldats français musulmans effectuent chaque année le pèlerinage à La Mecque? Dans quel état d’esprit rejoignent-ils leur unité après avoir scandé avec des dizaines, des centaines de milliers de pèlerins ces prières de haine contre les non-musulmans?”
Ces chiffres ne devraient pas, en principe, être très difficiles à obtenir, vu le degré de la bureaucratisation de l’Armée. Mais il est fort à parier que personne ne souhaite les voir.
“Depuis des années, l’ennemi déroule son plan sans être inquiété, simplement en se servant de notre démocratie et en appliquant la stratégie adoptée en 2000 à Doha. Notre pays est gangrené de l’intérieur et nos dirigeants, au lieu de prendre conscience de la menace et de la contrer, accompagnent cette islamisation criminelle de la France.”
Merci, mon général, pour votre courage et votre franchise. Si notre peuple n’a plus confiance qu’en son armée et en sa police, il a d’excellentes raisons. Vous en êtes une.
Retrouvez d'autres éléments en cliquant ici