Article rédigé par Le Salon beige, le 29 mars 2019
La multiplication des violences à l'égard des femmes aurait-elle pour origine la théorie du genre, qui en niant les différences sexuelles, dévalorise les femmes, leurs spécificités, et leur fragilité ?
A l’invitation de Femina Europa et sous l’égide de Madame Anne Zaborska, députée slovaque, Esther Pivet, auteur d’un ouvrage sur le sujet, a décrypté la théorie du genre au Parlement européen :
En France, depuis 2013 le HCE, Haut Conseil à l’Egalité entre les femmes et les hommes, met en œuvre la théorie du genre sous couvert d’égalité entre les sexes. Sauf qu’il ne s’agit pas, avec la théorie du genre, d’égalité mais d’indifférenciation.
Esther Pivet nous livre une analyse très complète de la mise en œuvre de cette théorie par l’éducation nationale dans les établissements scolaires, avec de nombreux exemples pris sur le vif, et ses conséquences sur la maternité.
Au nom de l’égalité homme femme, il faut éliminer les stéréotypes sexués et déconstruire les rôles sociaux, ce qui implique la parité dans toutes les sphères de la société (sauf la famille), la lutte contre les différences de traits psychologiques, de centre d’intérêts et de comportements entre l’H et la F ainsi que la promotion de l’inversion des codes culturels et des rôles sociaux : c’est la mise en œuvre de la théorie du genre qui ne veut pas dire son nom !
Sous prétexte de venir en aide aux femmes victimes de violences on impose un modèle de personne humaine indéfini et autonome, déraciné de la réalité physiologique. La grossesse et la maternité sont dévalorisées. Avec le développement de la technique on laisse entendre que les femmes pourront enfin s’affranchir de la grossesse vue comme une contrainte.
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