Article rédigé par Le Salon Beige, le 06 novembre 2018
Bien entendu, cette information ne sera pas ou peu reprise pas nos médias anti-Trump.
“Une femme qui a accusé le juge Brett Kavanaugh de la Cour suprême des États-Unis de l’avoir violée a admis qu’elle avait menti pour éviter la confirmation du juge parce qu’elle était “furieuse”, a déclaré aujourd’hui la commission judiciaire du Sénat. La femme, Judy Munro-Leighton, a revendiqué la responsabilité d’une lettre signée sous un pseudonyme reçue en septembre par le sénateur démocrate Kamala Harris, membre du Comité, accusant Kavanaugh et un autre homme de l’avoir violée “plusieurs fois chacun” dans un véhicule (…)
Après plusieurs tentatives au cours du mois d’octobre pour corroborer sa plainte, les enquêteurs du Comité ont pu communiquer avec la femme ce jeudi, lorsqu’elle a reconnu qu’elle n’était pas vraiment ” Jane Doe ” et que, en fait, elle ne connaissait pas Kavanaugh personnellement. La femme a dit qu’elle “voulait juste attirer l’attention” et que c’était une “tactique” pour éviter la confirmation d’un juge nommé par le président américain Donald Trump.
La lettre de Jane Doe et l’irruption de Munro-Leighton coïncidaient avec le moment où le Sénat a apprécié la confirmation de Kavanaugh et où plusieurs femmes ont fait savoir publiquement que le juge les aurait agressées sexuellement des décennies auparavant.”
“Une vicieuse accusatrice du juge Kavanaugh vient d’admettre avoir menti, que son histoire avait été totalement inventée, donc FAUSSE ! Imaginez qu’il n’ait jamais été validé comme Juge Suprême du fait de ces fausses accusations dégoûtantes. Et qu’en est-il des autres accusatrices ? Qu’en disent les Démocrates ?”