Article rédigé par Constance Prazel, le 22 octobre 2018
Des agressions récentes d'homosexuels ont suscité à nouveau l'émoi de la mairie de Paris, et de tous les juges moraux de la bien-pensance. Pourtant les chiffres sont là, comme une claque de la réalité portée aux fantasmes de l'idéologie : le nombre d'agressions homophobes est globalement en baisse.
Ce que ni la grande presse, ni les organisateurs de manifestations à la cause homosexuelles ne souligneront jamais, en revanche, c'est la provenance des agressions homophobes quand elles existent bel et bien. Dernière agression en date : un couple d'hommes qui s'embrassaient dans un VTC s'est fait vider par le chauffeur qui ne voulait pas transporter des gens "comme eux". Tout utilisateur régulier de VTC parisien le sait très bien. Votre chauffeur, qui viendra vous chercher dans une magnifique 508 ou une Mercedes Classe E s'appellera Nordine, Mourad ou Mansour. Pas Marc, Pierre, Paul ou Jacques.
Le problème n'est pas la hausse (inexistante) de l'homophobie.
C'est la présence, au sein de la société française, de citoyens pour qui la tolérance à l'égard de l'homosexualité, pour des raisons culturelles et religieuses, est proche de zéro. Un fruit de l'immigration, un de plus : et ceux qui ont fait venir ces immigrés sur le sol de France en masse au nom de l'ouverture des frontières, sont les mêmes qui pleurent devant l'intolérance des immigrés à l'égard de "l'ouverture morale" qu'ils prônent par ailleurs. L'éternel Bossuet n'en finit pas d'avoir raison : « Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes. »
Pour en savoir plus : http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/10/17/01016-20181017ARTFIG00344-malgre-les-apparences-les-agressions-homophobes-n-augmentent-pas-a-paris.php