Article rédigé par Jacques Guillemain, le 03 janvier 2018
source[riposte laïque]Deux policiers lynchés au soir du réveillon à Champigny-sur-Marne, dont une femme au sol, rouée de coups par une horde sauvage.
“A chaque assaut, recroquevillée et se protégeant le visage, alors que les plus lâches de la meute visent sa tête, elle hurle de peur. Son corps va et vient sous les salves comme un sac de sable.”
Tel est le cauchemar vécu par une jeune policière au milieu de 300 individus déchainés. Elle vient d’intégrer la police, et déjà victime de la bestialité des racailles ! C’est cela le métier de policier de nos jours.
Risquer sa vie au quotidien parce que l’Etat poltron est incapable de restaurer l’ordre républicain et abandonne ses forces de police à la violence des malfrats.
Scènes de guérilla urbaine, mais aussi scènes de liesse, avec des agresseurs qui hurlent “allumez le feu”, après avoir retourné une voiture de police.
La raison de cette agression barbare au milieu d’une foule en furie ?
Des policiers étaient venus évincer plusieurs dizaines de racailles qui s’étaient invitées dans une soirée privée, phénomène de plus en plus courant et qui ne date pas d’hier, mais qui reste systématiquement impuni.
Il faut bien que ces jeunes désoeuvrés s’amusent, les pauvres !
C’est la France de 2018, pays en totale décomposition par la faute des autorités et des juges, qui ont laissé notre pays retourner à l’état sauvage.
Ne pas stigmatiser, donc ne pas sanctionner. Telle est la règle.
Un pays à l’abandon et qui n’est plus gouverné depuis 30 ans.
Il n’ y a plus aucune autorité de l’Etat, celui-ci ayant définitivement capitulé face à la racaille des banlieues qui ne répond plus qu’à ses propres lois.
Dès l’école, les jeunes immigrés apprennent à défier l’autorité des enseignants qui sont incapables de faire régner la discipline, faute de soutien de la part de leur hiérarchie.
Quant aux policiers, en cas d’incident, ils ont systématiquement tort.
Sur simple plainte d’un malfrat, ils se retrouvent devant l’IGS, avec la crainte d’être radiés de la police.
Nos policiers sont littéralement tétanisés par la peur d’une bavure et préfèrent se faire tuer plutôt que d’utiliser leur arme de service pour se défendre.
En revanche, c’est la mansuétude assurée pour les agresseurs. 100000 peines de prison ferme ne sont pas exécutées.
Imagine t-on un policier américain se faire lyncher sans utiliser son arme ?
Imagine t-on un policier algérien ou marocain se laisser tabasser sans réagir ?
Imagine t-on un policier israélien se laisser brûler vif sans riposter ?
Impensable !!
Il n’y a qu’en France que les policiers ont peur des délinquants.
Pour eux, il n’y a jamais de légitime défense. Ils se résignent face à leurs agresseurs. Pourquoi cette capitulation sans combattre ?
Parce qu’ils ont peur de leur hiérarchie et de la justice. Et on les comprend, puisqu’ils sont systématiquement présumés coupables !
Le dernier qui a giflé un migrant récalcitrant, a écopé de 6 mois de prison ferme !
Mais 100 000 viols annuels restent impunis !
Les policiers qui ont été grièvement brûlés dans leur voiture, à Viry-Châtillon, n’ont même pas eu droit à la visite du président Hollande.
Mais celui-ci s’est précipité au chevet de Théo, délinquant qui avait vécu une interpellation musclée mais pas de viol délibéré, selon les enquêteurs.
C’est dire le respect des politiques pour nos policiers. Quel mépris envers ceux qui nous protègent !!
Mais une extrême compassion pour les délinquants.
Et qu’entend-on sur tous les réseaux et les medias aujourd’hui ?
Tous ces politiques hypocrites qui manifestent leur indignation en bêlant tous en chœur :
Inqualifiable, inacceptable, intolérable, inexcusable, impardonnable, insupportable….
Eternel refrain sans lendemain que tous ces bons à rien, tels des perroquets, rabâchent lors de chaque agression de policier ou de gendarme.
Mais que font-ils pour soutenir les forces de l’ordre ? Rien.
Comme pour les militaires, ils n’ont fait que laminer les budgets et les effectifs. Ils sont pitoyables !
Mais le pompon revient à l’inénarrable Gérard Collomb, qui juge que la violence provient de la mauvaise politique de la ville et de ces tours inhumaines des cités !
Quelle justification pitoyable ! Collomb défend l’indéfendable et victimise la racaille, comme le fait l’Etat depuis 30 ans.
Les barbares qui ont failli tuer la jeune policière, traumatisée à jamais, sont donc des victimes de la société. Refrain classique des associations gauchistes, entonné par Collomb ! Le ministre de l’Intérieur délire.
Mais ces tours inhumaines, des millions de Français, d’Italiens, de Portugais, y ont vécu heureux dans les années soixante. Ces cités étaient fleuries et souriantes et on y circulait en toute sécurité. Pas une once de violence avant le tsunami migratoire ! C’est cela la vérité, tous les Français le savent.
Là où centres commerciaux et magasins étaient vivants et animés, c’est aujourd’hui la désolation et l’insécurité.
En 2016, 18721 policiers et gendarmes ont été blessés ( en mission de police ou en service ) soit une hausse de 4% par rapport à 2015 ( ONDRP )
L’ensauvagement de la France est bien une réalité et tout empire. Le Nouvel An n’est plus une fête mais l’occasion de casser et de brûler plus de 1000 voitures.
Pourtant la loi prévoit des peines sévères. article 322-6 du Code pénal.
Incendier une voiture = 10 ans de prison et 150 000 euros d’amende.
Et la même infraction en bande organisée = 20 ans de réclusion !
Un article jamais appliqué !
La violence on la cultive par le laxisme judiciaire.
La délinquance a été multipliée par 5 depuis les années soixante. Voilà 50 ans qu’on nous promet chaque année que la peur va changer de camp !
Selon une enquête de l’ONDRP, 11 millions de Français ont peur de la violence dans leur quartier ! Où est passée la France heureuse des années Pompidou ?
Il a fallu un dispositif de 140 000 hommes et femmes pour assurer la sécurité du Nouvel An.
Au rythme des violences exponentielles, dans 10 ans, il en faudra 300 000 ! Et on les trouvera où ? 10 000 postes ont été supprimés et ne sont remplacés qu’au
compte gouttes par des jeunes inexpérimentés.
Pourtant la solution existe : seule la fermeté peut sortir la France de cette spirale infernale.
Prison ferme avec peines plancher incompressibles et après la sortie de prison, suppression de tous les droits sociaux, à vie, pour tout agresseur des forces de l’ordre.
C’est le seul langage qui soit compris de tous. La sanction au portefeuille.
Question de courage politique et de volonté !
Hélas, nous sommes dirigés par des poules mouillées.
La France finira dans l’anarchie et même la guerre civile.
Car le gouvernement n’est même pas capable d’enfermer à vie les terroristes qui ont pris les armes contre la France, en Irak ou en Syrie !
Les revenants sont avant tout des victimes ! C’est tout dire !
Jacques Guillemain