Article rédigé par Dreuz Info, le 06 juillet 2017
« Le relativisme est la plaie de nos sociétés, quand bien même il ne conduirait pas au totalitarisme. Il conduit au nihilisme… » Alain Finkielkraut.
Une chrétienne d’Orient (Égypte) s’indigne contre la charia et défend la liberté d’expression, souhaite vivre en paix loin du stress causé par les menaces, l’agressivité et la violence des musulmans. Elle exhorte courageusement les Allemands à se secouer, à réagir et à défendre leur liberté et leurs valeurs. Sur le panneau en arrière-plan : « Celui qui sème l’islam, récolte la charia… »
Tandis que les jeunes musulmans (des migrants et/ou des Turcs natifs d’Allemagne ?) haineux, furieux et agressifs l’insultent, profèrent des menaces et lui crachent dessus ! L’un d’eux, s’il n’y avait pas les barrières et les forces de l’ordre sur place, il en serait sûrement venu à l’agression physique, ou pire encore. Une voilée l’invective, lui fait un doigt d’honneur (comme d’ailleurs un autre musulman) et agite son poing menaçant en vociférant face à la militante copte déterminée qui ne veut pas des islamistes et d’une future charia (possible un jour) en Allemagne.
Après tout, rappelons que près du tiers des musulmans de France sont des islamistes rigoristes et considèrent la charia au-dessus des lois de la République !
Soulignons tout de même, à ce propos, que la « tolérance » (du latin tolerare, « supporter ») qu’on invoque à tort et à travers au sujet de l’islam ‟RATP”, « religion d’amour, de tolérance et de paix », désigne la capacité à permettre ce que l’on désapprouve, c’est-à-dire ce que l’on devrait normalement refuser.
En islam, celui du texte coranique, la tolérance est synonyme de condescendance, mais aussi l’acceptation à minima de l’altérité, c’est-à-dire dans la dhimmitude (la soumission à l’islam), mais encore l’indulgence du musulman supérieur vis-à-vis du juif, du chrétien (et du Nazaréen) et autres non-musulmans définitivement inférieurs.
Il est dit, en effet, à propos des musulmans : « Vous êtes la meilleure communauté, qu’on ait fait surgir pour les hommes » (Coran, Al-`Imrân, 3:110). Le peuple élu n’est donc pas en Orient celui que l’on croit, mais celui de la Oumma islamique ; d’où l’opposition islamique frontale au judaïsme (et, par prolongement, au christianisme).
Cependant, selon le philosophe anglais John Locke (1632-1704 ; Lettre sur la tolérance, 1689), la tolérance signifie « cesser de combattre ce qu’on ne peut changer ». Quant au philosophe américain John Rawis (1921-2002 ; Une Théorie de la justice, 1971), il établit qu’une société tolérante a le droit et le devoir de se protéger. Ceci impose une limite à la tolérance car une société n’a aucune obligation de tolérer des actes ou des membres voués à son extermination.
De même, pour qu’il y ait tolérance, il faut qu’il y ait choix délibéré. Or, ce n’est pas le cas du Coran nihiliste qui dicte toute la conduite du musulman, entre autres, vis-à-vis de l’infidèle mécréant à soumettre et/ou à convertir de force, sinon à supprimer.
À toutes ces conditions réunies, la tolérance en question n’a pas du tout le même sens en islam qu’en philosophie occidentale, quoi qu’on puisse dire et affirmer chez les intellos dhimmis d’Occident – et de France – à gloser positivement et vainement sur la tolérance en islam, pourtant réservée uniquement entre musulmans, textes coraniques à l’appui.
Il est donc urgent de redéfinir cette supposée « tolérance » de l’islam, d’ailleurs comme ce néologisme impropre et attrape-nigaud d’« islamophobie ». Car, une lucidité concernant la réalité islamique (ou le néologisme « islamo-lucidité ») ne peut en aucun cas être considérée comme une phobie, maladie mentale qui relève du psychisme. L’islam s’impose par des glissements sémantiques impropres et par des néologismes douteux que nos mandarins et médias complices approuvent par complaisance ou lâcheté, sinon par le fait accompli dicté aux citoyens au nom d’une idéologie relativiste et d’une politique sournoise de plus en plus rejetées.
La vidéo montre bien que ces musulmans quoiqu’encore minoritaires et sur le sol allemand ne change rien à la problématique. Qu’ils soient des migrants ou des Turcs natifs d’Allemagne, ils importent avec eux ou héritent du modèle religieux et anthropologique de leurs traditions et livre saint, et tenteront par tous les moyens de les imposer. Il suffit de dépasser un certain seuil minoritaire.
C’est là le vrai sens de cette migration de masse vers l’Europe, formellement interdite en direction des pétromonarchies. Les réfugiés – dont une bonne partie essentiellement des migrants issus du Maghreb et des pays musulmans subsahariens qui ne sont pas en conflit – sont pourchassés impitoyablement dans des pays arabes comme l’Algérie et la Libye mais qui s’installent pourtant en France et en Europe de l’Ouest, notamment la Grèce et l’Italie. Par progression arithmétique et géométrique ainsi que par saturation, une minorité devient agissante et impose sa loi avec le temps.
Reste au monde occidental de prendre conscience, selon John Rawis, des limites de la tolérance qui implique « le droit et le devoir de se protéger », dans ce cas contre cette intolérance islamique rampante déjà endémique. Elle annonce le pire dans un futur très proche, pendant que nos dirigeants regardent ailleurs et refusent obstinément de voir les réalités du terrain et celles des sondages.
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