Article rédigé par François Billot de Lochner, le 31 juillet 2015
Chers amis, au terme d’une année scolaire particulièrement agitée et éprouvante, au cours de laquelle il ne s’est passé une semaine sans que l’œuvre de déconstruction menée par les dirigeants au pouvoir continue sa mécanique et dramatique progression, permettez-moi de vous souhaiter le plus bel été possible.
En ce qui nous concerne, nous redémarrerons dès le début du mois de septembre nos différentes activités, notamment axées sur l’indispensable redressement que devra mener la nouvelle équipe au pouvoir, après les élections du printemps 2017.
À cet égard, et comme vous l’a déjà annoncé Philippe de Saint-Germain, j’aurai le plaisir d’animer un certain nombre de conférences-débats :
• le 9 septembre prochain, à l’Espace Bernanos, à Paris, en recevant Jacques Sapir, économiste de renom et l’un des meilleurs analystes de la situation de la Grèce, afin d’évoquer avec lui la situation réelle de ce pays ;
• les 29 septembre, 1er octobre et 14 décembre, respectivement à Orléans, Troyes et Lyon, autour de mon dernier livre Echapper à la mort de la France ;
• dans le courant de l’automne, à Tours, Dijon, Nantes ainsi que dans d’autres villes de province.
Parallèlement à ces conférences, j’interviendrai dans plusieurs colloques, dont celui qu’organise à Paris, le 17 octobre prochain, l’Association des économistes catholiques, sur le thème de la dernière encyclique du pape François.
En outre, je rencontrerai personnellement les présidents d’associations qui acceptent de participer au collectif France Audace, afin d’obtenir leur accord sur les principales mesures de redressement de notre pays, mesures que j’irai présenter aux dirigeants des partis politiques, pour les sensibiliser sur ces propositions et les intègrent dans leurs programmes électoraux.
Comme vous pouvez le constater, notre programme de rentrée sera bien chargé ! Il nous faut maintenant prendre le temps du recul et de la réflexion que nous offrent ces journées de vacances, et je vous retrouverai avec plaisir dans quelques semaines.
Très cordialement.
François Billot de Lochner
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