Résistance et guerre culturelle

Source [Les 4 Vérités] La Cour Suprême des États-Unis vient de rendre publiques trois « décisions » capitales coup sur coup.

Dans les 3 cas, elle a tranché en faveur de la Constitution, contre la gauche « évolutionniste ».

1) L’appel de l’État de Californie pour permettre aux cliniques de faire de la publicité pour leurs services abortifs est rejeté comme inutile et même contraire au 1er Amendement (liberté d’expression) car « d’essence totalitaire », selon le Juge Kennedy.

2) La Cour suprême juge que les syndicats du public n’ont pas le droit de forcer les fonctionnaires à se syndiquer.

3) Enfin, et cette fois c’est définitif, dans Trump v. Hawaï, la Cour établit qu’il revient à l’autorité présidentielle de refuser l’entrée d’étrangers non contrôlés par leur pays et présentant en conséquence des risques sécuritaires.

On en conclut que le Juge Kennedy, qui a longtemps été à la Cour suprême ce que McCain fut pour le Sénat, un « maverick » votant le plus souvent contre son camp, regrette peut-être d’avoir été le vote-pivot qui a favorisé à outrance la gauche sexuelle. Coïncidence ou remords, depuis l’arrivée de Trump, le juge n’a plus démérité à Reagan qui l’avait nommé en 1987.

Et voici que, dans la foulée de ces 3 superbes décisions, le Juge Kennedy décide de prendre sa retraite.

Coup de massue supplémentaire pour la gauche qui voit clairement que c’est là un cadeau prodigieux à Trump : l’occasion de nommer un juge « conservateur ».

Les présidents passent, mais les juges à la Cour suprême, peuvent durer des décennies.

Une nouvelle génération de juges peut briser le « plafond de verre juridique ».

Cela, en pleine « crise migratoire » et sur fond de violences publiquement proclamées.

Peter Fonda, rejoignant dans l’infamie sa sœur, « Hanoï Jane », a appelé à « enfermer Barron Trump, 12 ans, dans une pièce remplie de pédophiles », à « mobiliser des foules pour terrifier les enfants des agents des frontières », à « dénuder et fouetter publiquement les collaboratrices de Trump ».

Même niveau de dépravation que les rappeurs payés avec nos deniers pour divertir le couple Macron le 21 juin à l’Élysée.

Frustrés de n’avoir rien obtenu contre Trump, les gauchistes passent du déni au délire.

Selon un sondage Rasmussen, 59 % des Américains craignent que la guerre culturelle ne dégénère en guerre civile.

La gauche européenne ne vaut pas mieux, on l’a vu le jour du 1er mai en France. Sa violence est soutenue, en Europe comme aux États-Unis, par des milliardaires décadents.

On attend de la justice américaine et des justices européennes qu’elles s’engagent dans la voie ouverte par Orban et instruisent enfin le procès de ceux qui décident de l’agitation et financent les casseurs à leurs ordres.

En Europe comme en Amérique, la gauche mondialiste encourage les « flux » continus qui viennent grossir les « stocks » existants déjà̀ énormes, ingérables et inassimilables, par les aides aux associations autoproclamées humanitaires.

Nous ne sommes pas responsables des accidents inévitables. Nous ne devons pas céder au chantage émotionnel.

Et surtout ne pas nous laisser lier par des lois ineptes.

Ainsi, une loi américaine de 2001 élargit la protection juridique accordée aux étrangers aux immigrés illégaux.

De même, la loi européenne, ordonne aux pays de garantir l’asile à tout arrivant.

La compassion véritable et l’attitude responsable, c’est de dénoncer ceux par qui arrivent ces plaies : trafic d’êtres humains, personnes déplacées, atteintes aux droits des enfants utilisés comme pions, pressions intolérables pour les pays d’accueil.

Les « élites » irresponsables raisonnent dans le court terme : salaires toujours plus bas grâce au dumping de main-d’œuvre et électeurs dociles à vie. Elles n’ont aucun sens des devoirs dus aux générations passées et aux générations à venir.

C’est notre devoir de leur résister, à défaut de pouvoir les rééduquer.

En Europe, la « résistance », comme en 1940, est le fait de quelques chefs courageux pour lesquels Trump twitte sa sympathie.

Plus on cède à la gauche, par lâcheté ou par lassitude, plus elle s’enhardit. La guerre culturelle semble enfin tourner à notre avantage. Il faut une union internationale de toutes les droites et de tous les gens de bon sens pour éradiquer la lèpre qu’est le totalitarisme mondialiste. S’il y a quelque chose qui transcende les frontières, c’est bien cela.