
Source [Breizh-Info] : Cette semaine, on apprenait des parents du jeune Élias plusieurs détails d’importance quant à l’assassinat de leur fils, qui, rappelons-le, a été assassiné le 25 janvier dernier par deux énergumènes « bien connus des services de police » à la sortie de son entraînement de football dans le 14e arrondissement de Paris.
Et ce que nous apprenons change beaucoup de choses… Ou plutôt confirme ce que tous savent déjà, à savoir, que ce qu’il se passe dans nos rues n’est pas une guerre des pauvres contre les possédants, que ce n’est pas « la faute à l’exclusion », mais une guerre ethnique larvée menée par des allochtones qui nous haïssent, qui haïssent les Français et les Européens en général.
Car Elias n’a pas été poignardé par deux racketteurs exotiques* parce qu’il refusait de leur remettre son portable. (Oui, des fous ont prétendu que le jeune aurait dû donner le téléphone pour éviter les coups de lame, comme si cela pouvait être une considération normale). Face à la menace armée, Elias avait déjà obéi. Mais cela n’a pas empêché « Kevin et Matteo » de le massacrer à la machette. Vous savez, cette arme qui pullule désormais dans les zones de non-droit qui maillent notre territoire.
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