Source [Le Figaro] : Si le manque de personnel est plus visible en période estivale, le problème de sous-effectif est plus profond.
Au début de l’été, le ministre de la Santé d’alors, François Braun, l’avait promis: «Tous les Français qui en ont besoin seront pris en charge.» Sur Public Sénat, il avait assuré qu’il n’y aurait pas de fermeture de services d’urgences dans l’Hexagone «sauf réorganisations territoriales». Derrière cette «liberté» accordée aux acteurs locaux de s’organiser se cachent pourtant bel et bien des fermetures, le plus souvent partielles, de services qui n’arrivent plus à fonctionner faute de ressources humaines suffisantes.
Du même auteur :
- Guerre en Ukraine : la situation s'est «détério...
- Boeing, le nouveau cauchemar des compagnies aér...
- «Sanctuariser l’école»: comment aller plus loin...
- Conférence de Mélenchon sur la Palestine: l'uni...
- Après l’attaque iranienne contre Israël, les tr...
- Fin de vie: les dangers d'un texte flou qui ref...
- Mathieu Bock-Côté: «Deux visions de la civilisa...
- «Rente à vie», immigration de masse : le diagno...
- Mort d’Émile: ces questions auxquelles les enqu...
- Délinquance en France : l’édifiant classement d...