Source [Marianne] : Même en rehaussant leurs concours, les grandes banques multilatérales de développement ne parviendront pas à protéger les pays pauvres en première ligne sur le front climatique. À la COP 29, à Bakou, en Azerbaïdjan, les États comptent donc désormais largement sur le secours du secteur privé.
L'annonce n'éteindra sans doute pas le sentiment d'humiliation des pays en développement dévastés par les effets du réchauffement climatique. Le 12 novembre, en ouverture de la COP 29 qui se tient à Bakou en Azerbaïdjan, les grandes banques multilatérales de développement ont annoncé qu’elles mettraient 120 milliards de dollars de financement par an à la disposition des pays pauvres à partir de 2030. Sur cette enveloppe, 42 milliards de dollars seront consacrés à des investissements urgents d’adaptation.
- UE-Mercosur : lobbies, commission, Pedro Sánche...
- Olivier, ex-préparateur physique dans le foot :...
- Présidence de commission, vice-présidence de l'...
- Moldavie : quand les expats installés dans l'Un...
- "Moi qui ai sauvé la Grèce" : quand François Ho...
- Hausses d’impôts : les classes populaires et mo...
- Fin de vie : "Les aidants sont trop longtemps r...
- Israël : face à la pénurie de soldats, l'armée...
- SNCF vs. Saint-Gobain : qui abuse le plus du "f...
- En Suède, finis les écrans avant l’âge de deux...