
Source [Le Figaro] L’ancienne otage des djihadistes est retournée terminer sa vie au Mali, où elle fut détenue pendant quatre ans.
Son cœur l’a poussée à revenir auprès de sa fille adoptive au Mali, où elle vécut ces vingt-cinq dernières années. Mais la raison aurait dû conduire Sophie Pétronin, 76 ans, à rester prudemment en Suisse, un an après sa libération de quatre douloureuses années de détention par des djihadistes à Gao, dans le nord du Mali.
Paris a dénoncé, par la voix de Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, une «forme d’irresponsabilité» vis-à-vis de «sa sécurité» , mais aussi vis-à-vis «de la sécurité de nos forces militaires» déployées au Mali contre les djihadistes. L’annonce, mardi soir, de sa réapparition a interpellé de nombreux Français, qui s’interrogent sur son retour au Mali, où la menace djihadiste est, à certains endroits, très forte.
Après de très longues et difficiles tractations, la libération de Mme Pétronin, en octobre 2020, avec celle de trois autres otages, avait abouti à la remise en liberté de plus de 200 djihadistes et le paiement, vraisemblablement, d’une rançon à leurs ravisseurs du Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans, affilié à al-Qaida.
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