Source [Polémia] : Le meurtre de Justine a permis aux médias de ne plus parler du massacre de Lola. Il y a eu remplacement d’un fait de société par un fait divers.
La sidération de l’opinion publique et la colère sourde largement partagée ont paniqué le pouvoir et les médias. C’était le drame de trop, lié au laxisme vis-à-vis de la présence illégale d’immigrés sur le territoire national. Cette fois, le pouvoir a eu peur. Peur de l’effondrement du « pas d’amalgame » et d’une réaction populaire. C’est pourquoi les médias ont vite entonné l’air indigné de « la récupération politique de la droite et de l’extrême droite ». Depuis, Darmanin allume des contre-feux et se positionne sur une ligne de fermeté contre les clandestins délinquants. L’affaire Lola montait en puissance et Justine a permis une diversion médiatique ou une autre orientation, un drame en chassant toujours un autre. Justine, sans doute droguée dans une boîte de nuit puis abusée et tuée par un ouvrier agricole, a permis de braquer les projecteurs sur autre chose que l’horreur perpétrée sur une préadolescente par une jeune femme algérienne qui n’aurait pas dû être sur notre territoire. Le calvaire de Justine était inévitable, imprévisible en tout cas, et personne ne peut rien reprocher au pouvoir ; celui de Lola était évitable si la loi avait été respectée et appliquée. On n’est pas dans la même dimension. Justine ne gêne pas l’idéologie médiatique, Lola oui.
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