Source [Le Figaro] : ENQUÊTE - La HAS planche sur de nouvelles recommandations médicales pour la prise en charge des personnes transgenres. Mais son groupe de travail fait la part belle aux associations transactivistes.
La Haute autorité de santé (HAS), autorité publique indépendante chargée d'émettre des recommandations en matière de santé publique, est sur le point de bouleverser la prise en charge des personnes souhaitant effectuer une transition de genre - sous la pression des militants transactivistes. La HAS entend répondre à la hausse exponentielle du nombre de Français souhaitant transitionner, phénomène qui soumet le monde médical à de nouveaux défis : entre 2012 et 2020, les demandes d'opérations chirurgicales de réassignation ont été multipliées par 4 (plus de 450 demandes en 2020, selon l'Assurance maladie). Le nombre total de séjours hospitaliers liés au transsexualisme, lui, a triplé (1615 séjours en 2020). La transition de genre peut revêtir plusieurs formes : sociale (se faire appeler par un autre prénom, demander d'être «genré» différemment dans les interactions de la vie quotidienne), administrative (changer de prénom et de sexe à l'état civil) ou médicale (bloqueurs de puberté…
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