Tribune de François Billot de Lochner sur une chaîne télévisée suisse : la famille va t-elle disparaître ?

François Billot de Lochner est directeur de la revue Liberté politique, il intervient sur la chaine de télévision TV lLbertés comme chroniqueur sur des sujets délicats de l’actualité française, qui pour la plupart ne sont pas relayés par les médias conventionnels français. Il va maintenant réaliser une émission, dont le thème est : La famille va-t-elle disparaître ? Pour ce faire, il va développer 10 colonnes qui parlent d’un sujet qui est en relation directe avec l’effondrement de la famille.

Les studios Kla.TV accueillent aujourd’hui François Billot de Lochner. Le 17 novembre 2018, François Billot de Lochner était invité à la 16ème AZK en tant que conférencier et président de l’association « Stop au porno ». A cette occasion, Il a parlé sur : Comprendre et combattre le tsunami de la pornographie. François Billot de Lochner est directeur de la revue Liberté politique, il intervient sur la chaine de télévision TV liberté comme chroniqueur sur des sujets délicats de l’actualité française, qui pour la plupart ne sont pas relayés par les médias conventionnels français. Dans son livre « Les parfums du château » François Billot de Lochner écrit : « Nous devons créer une forteresse autour de la famille. » Il va maintenant réaliser une émission, dont le thème est : La famille va-t-elle disparaître ? Pour ce faire, il va développer 10 colonnes qui parlent d’un sujet qui est en relation directe avec l’effondrement de la famille

 

La famille va-t-elle disparaître ? La famille est la plus ancienne institution humaine que le monde ait connue. Elle remonte aux origines mêmes de l’homme et de sa création. La famille est la cellule de base de la société : elle éduque les enfants, futurs adultes et futurs citoyens, et les forme à la morale permettant de distinguer le bien du mal, le vrai du faux. La famille est aujourd’hui menacée de mort par les déconstructeurs et tous les apprentis sorciers de la mondialisation. Cette entreprise diabolique vise à la démolir pour mieux asservir l’être humain. Existe-t-il des résistants à ce projet mortifère ? Oui, ils mènent un combat acharné pour défendre la famille et sauver l’homme, mais ils sont très minoritaires et attaqués de toutes parts. Pour défendre la famille, il est impératif d’identifier toutes les menaces qui pèsent sur elle et les outils utilisés pour la démolir : perversion des mœurs, transhumanisme, écologie malthusienne, avortements et contrôle des naissances …. Une fois identifiées, ces menaces doivent être combattues sans relâche, sauf à accepter passivement la disparition de la famille.

La dictature LGBT L.G.B.T, 4 lettres qui veulent dire Lesbiennes Gays Bi Trans, synonymes de destruction des fondements moraux de notre société. Ce lobby de l’immoralité veut dynamiter la famille et transformer les personnes en individus pervers. Son objectif prioritaire : s’infiltrer dans toutes les organisations s’occupant des problématiques liées à la famille, afin de les transformer en outils de déconstruction du modèle familial. Il s’agit de détruire la cellule familiale, cellule de base de la société, pour faire émerger l’individualisme permissif et jouissif. Les structures LGBT ont donc massivement investi l’Education nationale, afin de déstructurer les enfants pour les modeler selon leur idéologie. Le LGBTisme a également investi massivement les mondes des médias, de la politique, de l’entreprise, afin de modeler de la même façon le monde des adultes. Ainsi, nombre de grandes entreprises affichent désormais des chartes LGBT qui s’imposent à tout le personnel. Refuser d’y adhérer peut aboutir à un licenciement pur et simple. Il résulte que l’idéologie LGBT s’impose partout de façon dictatoriale pour modeler l’individu selon ses critères, ce qui aboutit peu à peu à la destruction de la famille et donc de la société tout entière.

La pornographie, outil de déstructuration Les ravages de la pornographie ne sont plus à démontrer. La quasi-totalité de la population mondiale adulte, et une immense majorité des jeunes sont quotidiennement confrontés à des contenus pornographiques. Les films, les livres, les revues, les radios, les télévisions à caractère pornographique prolifèrent dans le monde entier. Sur le seul vecteur d’Internet, plus des trois quarts des jeunes français de 11-12 ans ont déjà visionné des films pornographiques. Du côté des adultes, 90 % des hommes américains ont consommé du porno au cours du dernier mois. Google indique que le tiers des connexions concernent des sites pornographiques. Les quatre principaux sites pornographiques au monde indiquent qu’en une année, leurs abonnés regardent 400 milliards de leurs vidéos pornographiques. Les déconstructeurs de la société ont compris que la pornographie était un outil d’exception pour détruire toute moralité chez les personnes, pour asservir la population en transformant en addictions la consultation de matériaux pornographiques, et donc pour détruire les liens familiaux ou sociaux fondés sur le bien, la bienveillance et le respect des personnes. L’industrie pornographique connaît donc un essor spectaculaire, fortement aggravé par le confinement décrété dans de nombreux pays. La gratuité de la pornographie sur Internet a permis de faire rentrer dans l’engrenage diabolique de la pornographie un grand nombre de personnes, qu’il s’agisse d’adultes ou d’enfants. Ce qui détruit à petit feu chaque membre des familles, et les familles tout entières.

La PMA et la GPA, outil de destruction de la création Deux mondes irréconciliables s’opposent aujourd’hui : le monde de ceux qui croient au Ciel, et le monde de ceux qui ne croient qu’à la science. Pour ceux qui croient au Ciel, la loi naturelle voulue par le créateur modèle leurs pensées et leurs actions. La référence permanente au Dieu créateur de toutes choses permet à chaque personne et à la société tout entière de travailler avec enthousiasme à la promotion du bien commun. Le monde de ceux qui ne croient qu’à la science est un monde par définition anxiogène, puisqu’il pousse la science toujours plus loin pour satisfaire toujours davantage l’individu, ce qui, en pratique, se révèle impossible, puisqu’il n’y a aucune limite définie. D’origine scientifique, le transhumanisme s’attaque à la nature corporelle de l’Homme pour mieux détruire sa spiritualité. La PMA et la GPA en sont le sinistre exemple : il s’agit de mécaniser la vie pour la seule jouissance hypothétique des individus. L’homme se transforme en robot mécanique, ce qui détruit la plus belle réalisation du Dieu créateur, à savoir la personne. La médecine est convoquée pour pallier une infertilité qui n’est pas accidentelle, mais provient d’unions par essence infécondes. Pour les couples homosexuels, le fait d’avoir un enfant devient un impératif exclusif de désir, qui ne doit souffrir aucune contradiction. La nature est niée, et l’on assiste à une rupture anthropologique majeure sur la transmission de la vie. La vie n’est plus un don gratuit qui nous dépasse. L’œuvre du Créateur est détruite.

La vague écologique, signe d’inhumanité Les ennemis de la famille recyclent le vieux discours malthusien, selon lequel la population mondiale doit être réduite, et promeuvent donc tous les moyens susceptibles d’atteindre cet objectif. Ainsi, les anglo-saxons ont expérimenté des lois anti natalité dès le début du XXème siècle : pour limiter les naissances et généraliser la contraception, le planning familial a été créé en 1916 aux Etats-Unis et en 1930 au Royaume-Uni. L’idéologie écologiste, avatar du marxisme, entend déifier la planète Terre au détriment de ses habitants. L’homme devient donc une nuisance, puisqu’il est considéré comme abimant la planète. Il faut donc absolument limiter la natalité, de façon directe, en supprimant les bébés à naître. Dans de nombreux pays, des lois facilitent l’avortement de masse : chaque année, dans le monde, 42 millions de bébés sont supprimés dans le ventre de leur mère. Le système politico-médiatique agit également de façon indirecte, en culpabilisant les familles nombreuses, en détruisant méthodiquement ce qui reste de la politique nataliste, en pénalisant fiscalement et en supprimant tout avantage pour les familles nombreuses. La femme doit être sortie de son foyer, et doit donc travailler, ce qui la rend inapte à avoir des enfants. En clair, seules sont prises en considération les personnes dites productives, c’est-à-dire s’intégrant aux systèmes de production visant à satisfaire de façon exclusive la consommation de masse.

Le contrôle des populations par la peur Les élites mondiales développent depuis des dizaines d’années leur obsession de contrôler les populations par tous les moyens. Le matraquage médiatique, notamment axé sur le mensonge, en est évidemment l’outil principal. Le système mondial dominant a méthodiquement détruit tout ce qui protégeait les individus, notamment la famille et le rôle du père, pour mieux les soumettre. Le problème du coronavirus donne aux dirigeants mondiaux une occasion extraordinaire de tester le degré de soumission des peuples qu’ils sont censés diriger. Depuis plus d’un an, le mensonge sur le covid atteint des proportions inégalées, aboutissant au fait que les populations ne peuvent démêler le vrai du faux. Il en résulte que par inquiétude ou par lassitude, les peuples acceptent les diktats gouvernementaux. La prochaine étape risque d’être la vaccination obligatoire, contre laquelle de nombreux scientifiques de haut rang s’opposent résolument, puisqu’il semble que cette vaccination n’ait aucun sens. Pourtant, le vaccin risque d’être imposé de façon dictatoriale, car il permettra de mieux contrôler les populations, et engendrera des gains financiers extraordinaires pour ses concepteurs et fabricants.

L’individu, simple producteur et consommateur Les dirigeants politiques et économiques mondiaux entendent continuer à imposer l’idéologie mondialiste. Celle-ci est notamment basée sur la transformation de la personne en travailleur producteur anonyme, qui doit produire toujours plus, et en consommateur anonyme, qui doit consommer toujours plus. La beauté et la plénitude de la personne, réduite à une sorte d’objet économique, sont donc profondément entaillées. L’hyperactivité au travail, fondée sur le « toujours plus », pour les hommes comme pour les femmes, ruine progressivement la notion de famille. Les femmes travaillant de plus en plus, la natalité s’effondre. Comme il faut des producteurs et des consommateurs, les portes de l’immigration s’ouvrent en grand et déstabilisent en profondeur les sociétés d’accueil. En tentant de gommer les différences de culture, de sexe, et d’opinion, les déconstructeurs entendent transformer les personnes en simples individus consommateurs du grand village global. L’immigration est l’outil privilégié de l’atomisation et du déracinement des individus. Le mondialisme et ses promoteurs opèrent donc un ravage politique, économique, social, moral et culturel sans précédent.

L’avortement facilité, fruit du Covid 19 Puisque l’idéologie libertaire imprègne au plus haut point les pensées et les actions des gouvernants de notre pays, il était logique que ces derniers utilisent le confinement pour assouplir les possibilités d’avortement. Ce qui a été fait : plusieurs mesures prises ont visé à faciliter cet acte barbare. Si la loi Veil de 1975 légalisait l’avortement et faisait sauter un tabou, Il ne fallait pas s’arrêter en si bon chemin. En 2001, le législateur rendait possible l’IVG jusqu’à 12 semaines. Aujourd’hui, une proposition de loi veut faire passer le délai à 14 semaines et interdire aux médecins de refuser un avortement, et donc leur supprimer l’objection de conscience. Pire, dans la torpeur estivale avait été introduite dans un projet de loi la possibilité ahurissante, pour une femme, de demander un avortement jusqu’à la veille de la naissance de son bébé, si la femme estimait qu’elle était en détresse psychologique. Légaliser purement et simplement l’homicide à tous les âges de la vie pourrait être la prochaine étape de notre civilisation décadente. Jusqu’où ira la culture occidentale de mort, telle est la question.

Le conditionnement des enfants par l’État Depuis de nombreuses années, les gouvernements français successifs accentuent leur pression pour que les enfants soient confiés le plus tôt possible à l’école publique, afin que l’éducation nationale puisse les formater dès le plus jeune âge. Ils veulent mettre en œuvre un vieux rêve totalitaire selon lequel les enfants appartiennent à l’Etat et non à la famille. Leur ’objectif est clair : faire subir aux enfants un véritable lavage de cerveau pour mieux les contrôler et donc mieux dominer la société. Ainsi, actuellement, la quasi-totalité des enfants de trois ou quatre ans fréquentent désormais des écoles maternelles dans lesquelles leur sont souvent apprises les différentes facettes de la sexualité. L’Education nationale française recommande ou impose aux élèves des livres aux contenus pornographiques explicites. Il s’agit bien d’un lavage de cerveau insupportable, contre lequel les parents ont le plus grand mal à lutter, contre lequel, en réalité, ils ne peuvent pratiquement pas lutter. De la même façon, un nombre croissant d’enfants sont retirés de leur famille pour être confiés à des assistants sociaux, serviteurs de l’idéologie étatique totalitaire. La tendance qui consiste à confier le formatage des enfants à l’Etat dictatorial prend désormais des proportions considérables.

Le trafic d’enfants, une stratégie étatique Dans la situation chaotique qui caractérise actuellement la France, le trafic d’enfants ne cesse de se développer. La prostitution enfantine prend des proportions effrayantes : 8 000 enfants sont prostitués chaque année en France et plus de 100 000 aux Etats-Unis. Le scandale de la pédophilie au sein des élites françaises prend des proportions inouïes, et révèle le point de pourriture morale atteint par nos gouvernants. L’action publique ou secrète menée par les réseaux pédophiles est d’une ampleur inouïe. À cet égard, le développement de tels réseaux par Internet est exponentiel : sur le seul réseau social Facebook, 12 millions de photos pédopornographiques étaient signalées en 2019. Loin de combattre ces réseaux, les autorités politiques n’agissent en aucune façon pour les réprimer avec la plus grande sévérité, alors que la pédophilie est un crime. À l’évidence, les classes dirigeantes sont particulièrement actives au sein des réseaux pédophiles. Quoi qu’il en soit, cette insupportable marchandisation des enfants avec une sorte de bénédiction des autorités contribue puissamment à la destruction des valeurs morales, et donc de la famille.

https://www.tvlibertes.com
http://libertepolitique.com/Actualite/Decryptage/Developpement-d-embryons-humains-en-laboratoire-au-dela-des-14-jours
https://www.youtube.com/watch?v=SckPHRpexcQ
https://www.youtube.com/watch?v=VsxvgtYaQFQ
www.stopauporno.fr
https://www.youtube.com/watch?v=Q3ki7-kmgM8