Source [Sputnik news] Une politique migratoire controversée, une transition énergétique osée. Karin Kneissl, ancienne ministre autrichienne des Affaires étrangères, tire le bilan d’Angela Merkel pour Le Désordre mondial.
La chancelière allemande est en fonction depuis novembre 2005, soit près de 16 ans d’exercice ininterrompu du pouvoir.
Mais comme Angela Merkel ne se représente pas aux élections fédérales du 26 septembre, cette période record de longévité politique est sur le point de s’achever.
La dernière étape de sa succession risque d’être serrée. Dans les sondages, Armin Laschet, son remplaçant à la tête de la CDU, le parti conservateur, talonne Olaf Scholz, son opposant de la CSU de centre gauche. Que pourrait signifier le résultat du scrutin pour l’avenir du pays, celui de l’Europe et de la relation franco-allemande ?
Pour l’ancienne diplomate, les relations d’Angela Merkel avec la France variaient selon le Président:
«Il y a toujours eu une volonté française de mettre un tampon français sur le projet européen. Il y a trois ans, le Président Macron a tenu son discours à la Sorbonne pour développer ce projet. Angela Merkel n’y a jamais répondu, Berlin ne voulait pas de grand projet. Madame Merkel a laissé Macron sous la pluie.»
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