L’apologétique de l’avortement ou l’art de la fausse sémantique
Article rédigé par Le Salon Beige, le 02 juillet 2022 L’apologétique de l’avortement ou l’art de la fausse sémantique

Source [Le Salon Beige] : Tous les arguments (sans exception) en faveur du meurtre légal des “enfants-à-naître” se laissent, dans le cadre d’une analyse précise, démolir avec la plus grande facilité. Cela prouve au moins une chose: Le vrai débat rationnel et contradictoire sur l’avortement n’a à ce jour toujours pas eu lieu. La dictature culturelle planétaire dont les médias sont infestés et qui repose sur le noyau dur du fondamentalisme féministe international ne l’a pas permis. A l’aide de onze arguments, j’en apporte ici la preuve.

1: Le libre choix?

Le vrai libre choix consiste à laisser choisir la personne qui est la plus concernée et qui risque de se faire tuer, c’est-à-dire “l’enfant-à-naître”. Celui-ci, en effet, choisit toujours de se développer et donc de vivre. Respecter son choix, implique donc de s’opposer à l’avortement. (Notons que la mère, elle, avortement ou pas, survit toujours).
Le lavage de cerveau issu de la culture de mort s’acharne à vouloir faire oublier un petit détail, c’est que l’avortement concerne non pas une seule personne (la mère) mais bien deux (la mère et l’enfant).

2: Les “pro life” (adversaires de l’avortement) sont intolérants?

La pire des intolérances et discriminations, n’est-ce pas au contraire de tuer “un enfant-à-naitre” innocent et sans défenses qui ne demande qu’à se développer? Prétendre le contraire, c’est inverser le sens des mots, c’est entrer dans une fausse sémantique.

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02/07/2022 05:01