Article rédigé par ripostelaique.com, le 12 janvier 2022
Source [ripostelaique.com] Le 6 janvier dernier, l’Institut Robert Koch publiait deux études sur le variant Omicron.
Selon la première, Omicron est responsable de 44% des nouvelles contaminations des personnes résidant en Allemagne. Compte tenu de la contagiosité du virus, les autorités allemandes s’attendent à ce que les chiffres du pays s’alignent sur ceux des pays environnants, notamment ceux de la France où plus de 70% des nouvelles contaminations sont dus à Omicron. « Omicron est partout, il représente entre 70 et 80 % de nos analyses », indiquait ainsi samedi 1er janvier au Parisien le président du Syndicat des laboratoires de biologie clinique, Thierry Bouchet.
La deuxième étude pose de sérieux problèmes de crédibilité au « vaccinolâtres », à tel point que l’Institut Robert Koch en a publié les résultats, en s’abstenant d’en tirer les conclusions…
L’Institut Koch a réalisé son étude à partir d’un échantillon de 12.185 personnes infectées par le virus Omicron. Sur ces 12.185 patients, seuls 2.693 (22,1%) étaient considérés comme « non vaccinées » (aucune injection ou une seule). Toutes les autres (soit 77,9% de l’échantillon) étaient bi- voire tri-injectées.
Ainsi, près de 78% des personnes infectées par Omicron ont reçu deux voire trois doses de « vaccin » anticovid. Un chiffre qui pulvérise la doxa officielle sur la soi-disant efficacité des différents « vaccins » disponibles sur le marché dans la lutte contre la propagation du dernier né de la famille SARS-CoV-2.
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