Article rédigé par Francesca de Villasmundo, le 14 novembre 2017
source[Salon Beige]La Conférence épiscopale allemande se soumet à la dictature de la gaystapo !
Après que la Cour constitutionnelle allemande, la plus haute juridiction du pays, a pris mercredi dernier, 8 novembre, la décision d’inviter le législateur à formaliser l’existence d’un « troisième » sexe ou « sexe neutre » sur les actes de naissance pour ceux qui ne se reconnaissent ni « homme » ni « femme », les évêques d’outre-Rhin se sont empressés de lui donner raison en estimant ce verdict « compréhensible ».
Leur porte-parole Matthias Koppo a déclaré :
« S’il n’est pas possible qu’un être humain soit clairement assigné à la classification binaire en tant que femme ou homme, il ne doit pas être contraint par des lois ou des habitudes sociales de s’associer, contrairement à ses propres sentiments, à un genre qui ne lui convient pas. »
« Cependant, une des conditions de la nature est que, en règle générale, l’appartenance à un genre est donnée à une personne, poursuit le porte-parole. Une attribution positive à un genre vaut mieux que de renoncer complètement à une déclaration de soi correspondante. »
Andreas Lob-Hüdepohl, professeur catholique d’éthique théologique et membre du Conseil allemand d’éthique a exprimé un avis similaire :
« Les personnes intersexuelles méritent comme telles pleine reconnaissance et respect »,
a-t-il déclaré mercredi dernier.
« D’un point de vue éthique, l’intersexualité est une variante extraordinaire et subjective du genre sexuel… »
Sous couvert de venir en aide au peu de personnes génétiquement mal-formée dès la naissance, cette décision de la Cour allemande ouvre la voie à la reconnaissance de la transsexualité et du transgenre, phénomènes de mode et de mœurs pervers imposés par la gaystapo mondiale. L’Église conciliaire allemande, en l’approuvant, se fait le collaborateur consentant de la révolution anthropologique en cours, destructrice de la nature et ennemie de la loi divine…