Le contraire d’une pensée fausse n’est pas (forcément) une pensée juste: le cas Soros

Source [Causeur] : Si George Soros et le système pernicieux qu’il a créé pour financer les causes les plus progressistes constituent des cibles légitimes pour des critiques, il ne faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain en condamnant les penseurs dont Soros se réclame et dont il trahit la pensée. Analyse.

 

« Les idées gouvernent le monde et les bonnes idées donnent de bons fruits ». Quelques vingt siècles avant Gramsci, c’était écrit dans les Évangiles ! Un qui a compris cela, c’est bien George Soros, que Charles Gave, qui le connait bien, qualifie à la fois de génie du trading – d’où sa fortune – et de profondément pervers, toxique et méchant.

M. Soros est complexé de ne pas être un intellectuel et entend le devenir grâce à son argent. Il est devenu un bailleur de fonds international essentiel du Parti du Bien et finance quantité d’ONG et d’universités pour répandre son idéologie, dite de la « société ouverte », qui s’opposerait à la « société fermée » portée par tous ceux qui s’opposent à la mondialisation financière et à un nouvel ordre mondial porté par les États-Unis.

Retrouver l'intégralité de l'article en cliquant ici