Lorsque la France enregistre chaque jour 120 attaques au couteau menées presque exclusivement par la population immigrée, dénombre avec une régularité d’horloge des assassinats dont le dernier en date est celui d’un brillant père de famille tué devant l’école catholique de ses jeunes enfants aux cris d’Allah Akbar, et offre au monde entier le spectacle apocalyptique de bandes déchaînées après un match de foot en banlieue nord de Paris,  nul doute n’est possible : nous vivons désormais dans un État sauvage, fruit d’une immigration démente, se traduisant par la ruine de l’État de droit. Tout cela étant soigneusement occulté ou amoindri par un système politico-médiatique devenu fou.

Pendant ce temps, le festival de Cannes, haut lieu de notre dégénérescence nationale, s’extasiait devant la huitième merveille du monde, à savoir une femme voilée, symbole d’un futur ardemment désiré par nos insupportables « élites culturelles ». Et plébiscitait la mode des rodéos urbains, signe de la révolte incontestable d’une jeunesse assez peu française qui montre publiquement sa haine farouche de tout ordre imposé par la société française.

Et pendant ce temps, bien évidemment, nos « élites politiques » continuent de nous expliquer que la situation française est enviable, et enviée par le monde entier. Enviée par le monde entier, probablement pas, mais enviée par l’Afrique et le Moyen-Orient, très certainement, d’où les flux d’immigration incontrôlée qui nous submergent. Et qui aboutissent à l’installation dramatique d’un État sauvage que plus personne ne contrôle vraiment.

Il n’est jamais très simple de prédire l’avenir, mais il ne paraît pas invraisemblable de prophétiser, à la façon d’Alain Peyrefitte : quand les banlieues s’éveilleront, les Français trembleront.

François Billot de Lochner