Les Français vont élire dans deux jours leur prochain président de la République. Or, ce que l’on peut entendre couramment actuellement, c’est que le candidat favori des sondages, à savoir Emmanuel Macron, est tout simplement diabolique… L’expression employée est objectivement effrayante : est-elle appropriée ? Hélas, il n’est pas difficile de démontrer qu’elle ne semble pas erronée. En voici quelques raisons :

 - La caractéristique principale de Macron est de mentir à peu près tout le temps, sur à peu près tous les sujets. Son bilan politique, économique, social, moral ou culturel est un véritable désastre pour la France, mais tout à fait droit dans ses bottes, il s’autoglorifie en permanence, en racontant tout et le contraire de tout sur à peu près tous les sujets. Si le diable est le prince du mensonge, Macron est à l’évidence son serviteur dévoué.

- Une autre caractéristique du président-candidat concerne sa volonté maladive de tout détruire à grands  coups de hache : destruction de la France qu’il déteste, et de son histoire bimillénaire ; anéantissement des Français de souche, qu’il méprise profondément ; déconstruction systématique des classes moyennes, qu’il ne supporte pas ; exhibition, dans le palais de l’Élysée, de populations étrangères dégénérées, pour symboliser aux yeux du monde entier qu’elles sont devenues le sel de la terre de  France : arrêtons cette énumération dramatique qui pourrait prendre des pages entières. Tout cela dégage une très sulfureuse odeur…

- La troisième caractéristique de Macron concerne son état psychologique. Nombre de psychanalystes ne se cachent pas pour le dire : son adolescence, brisée par les frasques amoureuses débridées  de celle qui avait l’âge d’être sa mère, n’a pas permis à l’adulte qu’il est devenu de s’épanouir normalement. Macron est totalement narcissique, et se complaît avec suffisance dans sa propre contemplation : le monde n’existe que pour le servir, et ne compte pour lui que son épouse-mère, qui l’a détruit psychiquement, et en a fait un psychopathe. Ce qui n’en fait pas un Ange de Lumière, dixit les psychanalystes…

Dans ces conditions, il faut vraiment être archevêque de Strasbourg et s’appeler Mgr Ravel pour indiquer que le seul vote possible est le vote Macron. Ou être le directeur du journal La Croix, lu par tant de prêtres et d’évêques de France, pour dire la même chose. À la fin du concile Vatican II, le pape Paul VI avait indiqué de façon tragique que les fumées de Satan s’étaient introduites dans l’Église. N’en déplaise à Mgr Ravel ou au journal La Croix, il semble qu’avec Macron, de telles fumées, devenues un brasier ardent dégageant une formidable odeur de soufre, aient envahies la France tout entière, dont l’Eglise. À l’évidence, l’élection de dimanche peut signer la mort de notre France, et la quasi disparition de son Eglise.

François Billot de Lochner