Epidémie d’accusations d’agressions sexuelles

Source [Boulevard Voltaire] De nouvelles accusations d’agressions sexuelles et de viol se multiplient, ces derniers jours, contre des personnalités publiques.

Nicolas Hulot

À la veille de la diffusion d’un numéro d’« Envoyé Spécial » relayant les témoignages de femmes portant des accusations contre lui, Nicolas Hulot vient d’annoncer, sur BFM TV, quitter définitivement la vie publique. Accusé par plusieurs femmes d’agressions sexuelles et de viol, l’éphémère ministre de la Transition écologique, ancien candidat à la primaire des écologistes, déclare : « Je ne m’exprimerai plus. Je ne souhaite à personne de vivre le cauchemar dans lequel je vis. »

En 2008, déjà, une plainte « pour un fait de viol » déposée contre lui avait été classée sans suite. En 2018, il avait dû faire face à de nouvelles accusations de harcèlement et violences sexuelles révélées par le magazine Ebdo.

Juan Branco

Le jeune et médiatique avocat, ancien membre du parti Les Verts, puis de La France insoumise (qu’il quitte en 2018), défenseur de certaines figures médiatiques des gilets jaunes, est lui aussi sous le coup d’une mise en examen décidée, mardi 23 septembre, par le juge d’instruction pour « relation sexuelle non consentie » avec une étudiante. La plaignante avait déclaré avoir pris un médicament à base d’opium proposé par Juan Branco.

Placé en garde à vue, le 1er juin 2021, Juan Branco avait nié les faits mais le parquet de Paris avait ouvert une information judiciaire pour faits de viol.