
Source [Le Figaro] : Une frange radicale de la communauté transgenre souhaite effacer la distinction entre les sexes biologiques - au détriment du droit et de la santé des individus… et de la réalité.
«Je veux être une femme. Désormais, vous m’appellerez Loretta.» Nous sommes en 1979, dans une scène de La Vie de Brian, des Monty Python. La réplique culte est suivie d’un dialogue parfaitement savoureux («Je veux avoir des bébés.» - «Mais tu ne peux pas avoir de bébés!» - «Arrête de m’oppresser!») qui se termine par un délicieux et prémonitoire échange: «Se battre pour son droit d’avoir des bébés alors qu’il ne peut pas en avoir, c’est le symbole de notre lutte contre l’oppression» - «C’est surtout le symbole de sa lutte contre la réalité.»Un demi-siècle plus tard, sur le plateau de France Télévisions lors de l’émission «Quelle époque!», l’ambiance n’est plus aux rires. Dora Moutot, journaliste et militante féministe, débat avec Marie Cau, premier maire transsexuel de France - c’est-à-dire un individu né homme mais qui est devenu (administrativement tout du moins) une femme. Nous sommes en 2022 et pour avoir simplement précisé qu’un homme qui décide, comme Marie Cau, de changer de sexe…
Retrouver l'intégralité de l'article en cliquant ici
- Jusqu’à quand Donald Trump pourra-t-il résister...
- «Ce que dit Macron, je n’en ai rien à cirer»: c...
- «Immaturité» des engagés, sanctions trop faible...
- La Cour des comptes découvre au CNRS une trésor...
- Emprisonnement d’Ekrem Imamoglu, rival d’Erdoga...
- Nouveau fonds, assurance-vie, PER... Comment le...
- Anne de Guigné : « Pour s’occuper, le conclave...
- Création d’un «impôt minimal différentiel» : ve...
- «L’accord de 1968, c’est le président de la Rép...
- «On va tirer sur vous»: de Montpellier à Brest,...