Les députés dans la bataille sanitaire

"On ne le leur pardonnera pas. Si les parlementaires – et en particulier les élus à l’Assemblée nationale qui auront la haute main – adoptent le texte d’instauration de la tyrannie voulue par Emmanuel Macron, il faut qu’ils sachent qu’ils seront politiquement morts." Retrouvez l'analyse de Jeanne Smits pour reinformation.tv sur le rôle que peuvent jouer les députés dans la nouvelle étape de la dictature sanitaire voulue par le pouvoir. 

Tout député qui votera la soumission des Français à un régime de facto de « vaccination » obligatoire pour pouvoir vivre normalement, travailler, recevoir un salaire, se déplacer, aller au café ou au restaurant visiter ses anciens, aller faire ses courses (dans une « grand » centre commercial, en attendant l’interdiction pure et simple de commercer), doit savoir que son acte proprement terroriste sera répertorié et retenu contre lui. Face à la tyrannie vaccinale, un seul mot d’ordre : aujourd’hui, il fait mettre une pression monumentale sur les députés et les sénateurs. C’est l’heure de la résistance.
 
Ils auront des comptes à rendre et demain, lorsque cette folie sera derrière nous, ce n’est pas un « pass sanitaire » qui leur permettra de poursuivre leur carrière politique, car de carrière politique, ils n’en auront plus.

Résistance à la tyrannie : un droit et encore plus, un devoir !

On ne se contentera pas de leur abstention, et encore moins de leur absence, si jamais ils n’ont pas envie de perturber leurs vacances par une session extraordinaire du Parlement, annoncée à compter du 21 juillet. Ils ont un rôle, pour lequel ils ont été élus. Sans doute le cynisme politicien pourra-t-il les pousser à se désintéresser de la cause ou, pire, les inciter à approuver les visées tyranniques d’Emmanuel Macron et de ceux qui l’entourent – et pire, de ceux qui le pilotent, comme on mène un bateau… et en bateau.
 
Mais ce qui leur est demandé, ce n’est même pas du courage. C’est la simple défense de leurs propres intérêts, de leur propre carrière. On ne leur demande même pas de résister à la vaccination obligatoire par amour de leurs compatriotes ou pour être fidèles à leur éventuel sens de l’honneur. S’ils choisissent de soumettre hommes, femmes et adolescents à cette gigantesque et maléfique expérience de suivi et de traçage de toute la population – car c’est aussi de cela qu’il s’agit – ils seront « morts ». Politiquement morts, socialement morts (et non, ces mots ne doivent pas nous faire peur, car c’est précisément ce qui est en cours de mise en place : la mort sociale de ceux qui ne se vaccineront pas).
 
Insistons là-dessus. Il n’y a pas – pas encore comme l’a laissé entendre Macron – d’obligation vaccinale générale. Mais il y a bien un « QR code pour tous », et, déjà, un système de crédit social tel qu’il existe, et nous répugne, en Chine, avec le pass sanitaire. Et les conditions du pass sanitaire sont telles qu’elles reviennent à une vaccination obligatoire pour tous, avec un QR code toujours, permettant de suivre à la trace et dans tous les actes de la vie chaque citoyen, dès 12 ans.

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