Le néo-féminisme sur internet, le mal gagne

Source [Ojim] : Après Yann Barthès, Chronique d’une imposture et L’Affaire Obono-Valeurs actuelles, Retour sur un emballement médiatique, l’Observatoire du journalisme (Ojim) publie sa troisième brochure aux éditions de la Nouvelle Librairie sur Le Néo-féminisme à l’assaut d’internet, sous la signature d’Anne Trewby, présidente du mouvement des Antigones.

Quatrième vague féministe

Après la première vague sur l’égalité des droits au XIXème siècle, la deuxième après la seconde guerre mondiale sur la sexualité, la troisième des années 90 aux États-Unis sur les minorités, la quatrième des années 2010 se concentre sur les violences faites aux femmes avec #MeToo et l’affaire Weinstein et sur la revanche à prendre face aux hommes.

Des formats en veux-tu en voilà

Si internet apparaissait à ses débuts comme un outil surtout masculin, ce n’est plus le cas. Le nombre de sites ou blogs s’est multiplié depuis dix ans : Ni putes ni soumises, Les Chiennes de garde, La Barbe, Les Frangines, Crêpe Georgette, Poulet rotique (le titre est bien trouvé) et autres Mrs Roots.

Le monde des webzines ou des newsletters n’est pas oublié, ce foisonnement créatif via le dessin, la vidéo, le podcast, mis au service du narcissisme digital, joue de la corde toujours sensible de l’indignation pour aller jusqu’à la dimension pratique en demandant la PMA pour toutes à l’exemple d’Osez le féminisme.

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