Source [Polémia] : Le Ballon d’Or 2024, l’un des événements sportifs les plus attendus du moment et qui vient de se terminer, ravive la passion et l’engouement populaires. Pourtant, au-delà des célébrations, le football soulève des questions sur son rôle dans la société contemporaine. Cet article, écrit par Guillaume Faye il y a plus de 10 ans (à l’époque du « Mondial » 2014) sous le titre « Le football ou l’opium du peuple », revient sur le caractère anesthésiant – sinon crétinisant – de ce sport, devenu un outil de divertissement de masse, détournant l’attention des enjeux sociaux et politiques majeurs. Une analyse critique plus que jamais d’actualité.
Le football ou l’opium du peuple, par Guillaume Faye
En cette période de « Mondial », il faudrait une guerre nucléaire pour détourner l’attention du public et des médias, fascinés par les matches de foot qui se jouent au Brésil. Tous les soirs, dans les villes, à l’heure des retransmissions, les rues se vident et l’on entend les hurlements des téléspectateurs rivés devant le spectacle de 22 types qui courent après un ballon. Dans les cafés, pas une conversation qui ne porte sur le foot.
- Réduire les dépenses publiques de 150 milliards...
- Covid et pandémie : la dictature du bien-être c...
- « Le Monde » ou l’imposture démasquée par elle-...
- Un roman porno au prix Goncourt des lycéens 2024 ?
- Michel Barnier Premier ministre : le RN au cent...
- Moi et le chaos : Macron à la manœuvre
- Pourquoi l’oligarchie s’attaque à la liberté d’...
- De la déclaration des droits de l’homme à la dé...
- La famille française de souche, voilà l’ennemi
- Transmania : le projet politique du transsexual...