
Source [Causeur] : Avec « Athena », le réalisateur Romain Gavras s’empare à son tour de la thématique de la banlieue. Il semble y décrire ce que la France pourrait être, ou pourrait devenir, selon lui. Si l’image est impeccable, les acteurs qu’il nous donne à observer pendant 1h37, et surtout le scénario, n’en font pas une franche réussite.
« Athena » promettait d’être le long-métrage social à la française évènement de 2022. Après « Les Misérables » (2019) qui avait plu à la gauche, ou « Bac Nord » (2020) qui avait tant plu à la droite, il fallait une synthèse. Le réalisateur des « Misérables », Ladj Ly, a d’ailleurs largement collaboré à la réalisation d’ « Athena ». Mais force est de constater qu’au lieu de plaire à tous, « Athena » déçoit tout le monde.
Un film pour Netflix
À première vue, pourtant, tout est là pour plaire : prises de vue dynamiques, caméras immersives, plans-séquence impressionnants de qualité. Sur le plan technique, « Athena » est presque inattaquable.
Retrouver l'intégralité de l'article en cliquant ici
- Pourrait-on assumer une interdiction du Syndica...
- Australie : « zéro chance » pour les clandestins
- Cinq ans après le Covid-19, la France doit aban...
- Quand l’islamo-gauchisme réserve une salle à l’...
- L’État de droit, c’est plus fort que toi !
- Nahel: la dinguerie judiciaire actuelle a une h...
- Liberté d’expression ? On ferme !
- L’inquiétante popularité de Dominique de Villepin
- Ces chaînes qu’on abat: petit mode d’emploi
- Ali Macron et les 40 voleurs