Article rédigé par Valeurs actuelles, le 08 décembre 2020
Source [Valeurs actuelles] Depuis plusieurs années, des centaines de mariages de convenance ont été célébrés à la mairie de la ville de Seine-Saint-Denis, durant le mandat communiste. Un vaste système illégal, quasi-institutionnalisé, avec la complicité des élus et des fonctionnaires. Révélations.
« Une nana slovaque, qui ressemble à Adriana Karambeu, avec un vieux papi » ; « Un type qui serre à fond la main de la femme, comme s’il avait peur qu’elle s’en aille », quelques témoins, jamais de public, ambiance malsaine… Les scènes, racontées de l’intérieur par de multiples témoins, prennent place à la mairie de Saint-Denis, sous la précédente mandature. Ses protagonistes, sur le point d’être mariés, ont toujours l’apparence de faux amoureux binationaux, à la différence d’âge et de profils flagrants. Motivés par l’ouverture du droit à l’obtention de la nationalité française ou d’un titre de séjour, pour l’un des deux mariés étranger, ces « mariages blancs », invalides aux yeux de la loi, ont pourtant été célébrés par centaines, au cours du dernier mandat de la municipalité communiste, dirigée par Laurent Russier.
A Saint-Denis, où l’on constate une forte concentration de population immigrée, les tentatives d’unions frauduleuses sont nombreuses, à en croire les nombreux acteurs de la mairie et son ancienne majorité, qui se sont confiés à Valeurs actuelles. « J’ai fait beaucoup de mariages, et je sais très bien que certains étaient blancs », explique un ancien élu, sous couvert d’anonymat. « Une fois, un témoin est même venu me remercier avec insistance à la fin de la cérémonie ». Un de ses collègues, aussi concerné, abonde : « C’étaient des gens complètement différents, souvent avec une différence d’âge exceptionnelle entre les deux".
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