
Source [Causeur] : Les vifs et récents débats sur la condamnation de Marine Le Pen ont évidemment reposé la question de la politisation de certains magistrats. Lâcheté partout, courage nulle part, semble regretter notre chroniqueur.
Est revenue récemment, dans le débat public, la question de l’interdiction du Syndicat de la magistrature grâce à Bruno Retailleau jeudi soir sur France 2, David Lisnard sur CNews et, si j’ose dire, à cause de Marine Tondelier qui n’a rien trouvé de mieux que d’approuver l’injonction faite par le Syndicat de la Magistrature aux magistrats de s’opposer politiquement au Rassemblement national sur LCI.
Manque de courage
Il me semble que sur ce sujet nous avons un parfait exemple de la dérive des pouvoirs. De droite, en raison de l’impuissance à faire respecter les règles d’un syndicalisme exclusivement professionnel. À gauche, par la complaisance à l’égard d’une politisation qui fait perdre toute légitimité à une part importante, moins par le nombre que par l’influence, de la magistrature dans l’opinion publique.
- Faire taire Renaud Camus: la Grande-Bretagne en...
- Salauds de pauvres!
- Australie : « zéro chance » pour les clandestins
- Cinq ans après le Covid-19, la France doit aban...
- Quand l’islamo-gauchisme réserve une salle à l’...
- L’État de droit, c’est plus fort que toi !
- Nahel: la dinguerie judiciaire actuelle a une h...
- Liberté d’expression ? On ferme !
- L’inquiétante popularité de Dominique de Villepin
- Ces chaînes qu’on abat: petit mode d’emploi