Comme nous le savons, le Prince de la division, le Grand diviseur a un nom : il s’agit du démon. L’objectif de ce dernier est de diviser autant que faire se peut, car il sait que la division ravage, ruine, détruit tout sur son passage. Et voici que les temps actuels, notamment axés sur le covid, lui offrent un nouveau terrain de jeu au niveau mondial : il s’agit bien sûr de la mise en force, au niveau de la planète tout entière, du vaccin anti-covid.

La France, toujours en avance dans les politiques liberticides, vit désormais au rythme du vaccin obligatoire : l’on ne parle plus que de cela, et la fracture s’agrandit de semaine en semaine, au niveau de la société, au niveau des communautés sociales, au niveau des familles, entre ceux qui sont favorables au vaccin et ceux qui ne le sont pas.

Première remarque : globalement, ceux qui ne sont pas favorables au vaccin se sentent à l’aise par rapport à ceux qui se font vacciner dans la joie et la bonne humeur, ce qui est somme toute assez normal, puisqu’ils sont adeptes de la liberté.

Seconde remarque : globalement, ceux qui sont favorables au vaccin deviennent peu à peu des fanatiques du vaccin, considérant que ceux qui ne sont pas vaccinés font courir à la société un risque considérable en termes sanitaires. Ils deviennent donc peu à peu acteurs de la dictature sanitaire, et le revendiquent haut et fort.

Troisième remarque : globalement, les pro-vaccins ignorent ou refusent de considérer trois aspects des vaccins généralement admis par la communauté scientifique mondiale : les vaccinés peuvent être à nouveau atteint par le covid, les vaccinés peuvent transmettre le covid, les effets secondaires des vaccins peuvent être graves pour le cœur, pour le cerveau et pour les ovaires féminines.

Quatrième remarque : le gouvernement impose dictatorialement un traitement unique, en excluant dictatorialement tout autre traitement. Ce qui génère des profits, pour les laboratoires, qui se chiffrent actuellement en dizaines de milliards d’euros, et se chiffreront sur la durée en centaines de milliards d’euros. D’où la question que l’on peut légitimement se poser : à qui profite le crime ?
Dans ce contexte global, sur le sujet du vaccin, les familles se déchirent, les amis se déchirent, les communautés sociales se déchirent, la société tout entière se déchire. L’on ne compte plus les brouilles définitives entre les pro-vaccins, adeptes de la dictature sanitaire macronique, et les anti-vaccins, qui revendiquent haut et fort leur liberté.

Une nouvelle fois, Macron et son triste entourage se révèlent les grands diviseurs diaboliques d’une France bien mal en point. Cela dit, la population, chaque jour qui passe, en a davantage conscience, comme le révèle des sondages récents ou les manifestations répétitives et considérables de cet été. Il nous reste donc des motifs d’espérer : la liberté n’est pas encore morte !

François Billot de Lochner