Quand les imams profitent des Journées du Patrimoine pour nous islamiser encore un peu plus…

[Source : Nouvelles de France]

Les Journées du Patrimoine n’ont pas été que culturelles dans nos villes. Elles ont été aussi cultuelles. A sens unique, car si visiter une cathédrale et son trésor exceptionnellement ouvert aux yeux du public l’est se fait dans une but de tourisme culturel, il en est tout autrement de mettre, ce jour-là, les pieds dans l’une des deux mille cinq cents mosquées qu’un pouvoir faible a permis de construire souvent en enfreignant la loi.

On s’en doutait un peu, mais dimanche, le prosélytisme musulman a atteint des sommets. La Journée du Patrimoine n’était-elle pas un moment privilégié dans l’année, pour faire découvrir cette belle religion de paix et d’amour aux infidèles, mécréants chrétiens ou non. Car, bien entendu, il s’agissait plus de faire découvrir au public le B.A Ba de la religion islamique que des murs d’un bâtiment souvent banal, parfois très folklorique par sa déco orientale.

Prenons le cas d’Amiens, ville chère à notre président et où se trouve l’une des plus belles cathédrales de France. Eh bien, la mosquée marocaine As-Souna s’est fait un devoir d’ouvrir sa porte aux Amiénois car elle est toujours en service bien que son enseignement y soit réputé être du pur wahhabisme saoudien. Ouverte depuis 2013, elle est modeste par son architecture sans étage, mais fracassante par ses résultats. Les femmes y viennent en jilbad, et plus de cent cinquante élèves assistent aux cours, sans oublier les conférences de salafistes comme Sadek Abou Yahya. Combien de ces élèves et fidèles vont faire parler d’eux d’ici quelques années ? Et qui dirigera la future mosquée monumentale d’Amiens dont les 6500 m2 vont permettre à l’islam de répandre ses versets avec plus d’impact que les sept mosquées actuelles de la ville.

Mais parlons surtout du cas de la mosquée As-Salam de Tomblaine, près de Nancy. Joachim Véliocas de l’Observatoire de l’Islamisation relate une émission diffusée par France 3 Grand-Est. Le journaliste d’origine arabe, Mustafa Mohammad s’est littéralement lâché en faisant une promotion ahurissante de l’islam et de cette mosquée, au demeurant fort belle dans son architecture islamique.

« C’est pour la 5ème année que le lieu de culte accueille des visiteurs pour leur faire découvrir le lieu, son architecture, la culture musulmane, le prophète Mouhammad, pour tenter de répondre aux questions des curieux et d’en finir avec des préjugés, des amalgames, des confusions ». Notons ici que le journaliste arabise le nom de Mahomet, et qu’il parle du prophète que seuls les bons musulmans identifient comme tel. Il ne va surtout pas évoquer le fait que l’imam, là encore marocain, Amine Nedji, ne s’est jamais embarrassé de reconnaître la supériorité de la charia sur les lois de nos pays européens.

Le dénommé Amine, qui aurait dû être expulsé depuis bien longtemps, exige, par exemple, que les apostats qui, heureusement se font de plus en plus nombreux en France, soient punis selon « les lois immuables tirées du Coran et de la sunna ».

Il faut écouter sur internet la vidéo de cet imam, membre du Conseil Européen des Oulémas Marocains qui aurait dû être dissout depuis belle lurette, et membre aussi du Conseil régional du Culte Musulman pour la Lorraine. Eh bien, dans cette vidéo, il affirme que nier la sunna c’est un acte pur de mécréance, et que cela devrait entraîner, comme dans le cas d’un adultère, la mort du coupable.

Voilà ce à quoi les visiteurs de ces Journées du Patrimoine qui se sont aventurés, dimanche dans les mosquées, devaient s’attendre. Accepter le prosélytisme islamique en s’intéressant aux discours de ces imams salafistes et hors-la-loi mais que tolère un gouvernement irresponsable, c’est déjà collaborer et participer à l’islamisation de la France.

Floris de Bonneville