
Source [Contrepoints] : Souvent, des ouvrages lançant des alertes à propos de dérives écologistes se bornent à présenter les faux problèmes et l’inanité des politiques engagées. Une fois n’est pas coutume, il y en un qui propose non seulement une critique de l’écologisme, mais aussi un manifeste pour une politique environnementale qui ne cherche pas à faire table rase de notre histoire, mais qui vise au contraire à la poursuivre dans l’incessante quête de notre liberté. Une fois de plus, il faut donc s’attaquer et vaincre une idéologie qui succède aux pires dérives coercitives que l’humanité ait pu s’inventer.
Il a bien fallu identifier les errements verts et en démontrer les fautes, excès et manquements. C’est ce que fit Jean-Paul Oury dans un premier tome[1], en mettant en exergue les prétentions pseudo-scientifiques de ces mouvements. Cependant, les erreurs de diagnostic et les postures morales ne se transforment pas automatiquement en actions. C’est pourquoi, dans un deuxième tome[2], il a mis en évidence les récupérations politiques de la science, qui toutes relèguent aux oubliettes les plus simples principes démocratiques. Par cinq études de cas, il explique comment climatocratie, covidocratie, biodiversitocratie, collapsocratie ou algorithmocratie pourraient s’imposer à un monde devant agir au seul service de la nature.
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