Cambriolages : la situation empire, les manipulations du ministère de l’Intérieur s’aggravent

Source [Atlantico] : Les municipalités françaises plongées dans le noir pour réaliser des économies d'énergie durant la nuit connaissent une vague de cambriolages de locaux industriels, administratifs, com­mer­ciaux, agricoles... Le ministère de l'Intérieur fait tout pour cacher aux Français cette inquiétante réalité.

Allemagne en tête, l'Europe du nord dispose de vrais écologistes, sincèrement attachés à pro­téger la nature et leurs compatriotes des effets négatifs d'industries cravachées par des finan­ciers-vampires. En France hélas, nos écolos sont plutôt des gauchistes déguisés, ayant pigé qu'à suivre Mme Laguiller & co., ils croupiraient pour toujours à l'état de groupuscules, privés de prébendes, emplois juteux et copinage avec le gratin "progressiste" occidental.

Dirigeant désormais des villes, ces écolos-gauchos méprisent bien sûr le régalien, la sécurité et les appels au secours d'une population livrée à l'insécurité. Récent cas d'espèce, le couvre-feu nocturne qu'ils imposent à des villes grandes ou moyennes, du fait de la crise énergétique pro­voquée par la guerre Russie-Ukraine.

Le ministère de l'Intérieur a-t-il prévu les retombées criminelles que subiraient ces villes plon­gées dans la nuit ? Non. Peu capable d'anticiper, sans outil proactif efficace, l'Intérieur voit tard et lentement venir les crises criminelles ; ajoutons-y sa notoire tendance à camoufler les mauvais chiffres : à l'instant, l'Intérieur ne voit pas enfler une vague de cambriolages - que notre base documentaire criminologique perçoit déjà, elle, et qui s'annonce forte.

Cette vague concerne des effractions nocturnes de commerces, entreprises et locaux de tout type, dans des villes désormais plongées dans la nuit ; ce, par des malfaiteurs très réactifs et surtout, instinctivement hostiles au long terme. Partout et toujours, du voleur de poule au caïd plein aux as, le Milieu préfère dix euros aujourd'hui à mille, demain. Tout bandit le sait : planifier, c'est risquer d'être repéré par la police ou, pire encore, par des rivaux ; arrestation et prison dans un cas, embuscade fatale dans l'autre. Donc, à la moindre opportunité, le mal­fai­teur fonce : une obscurité propice ? Allons-y.

Et les annonces s'accumulent en ce début mars : "8 cambriolages dans le secteur de Cognac, commerces et entreprises... les cambrioleurs ciblent une dizaine de commerces de l'Albi­geois... 30 cambriolages d'entreprises, Béarn, Landes et Bigorre... Série de cambriolages dans des magasins de Dinan... À Figeac, les commerces de centre-ville victimes de cambriolages... Plusieurs commerces cambriolés à Abbeville... Près de Laval, plusieurs commerces cambriolés la nuit... Il cambriole une dizaine de commerces à Rennes", etc., une litanie interminable nous remonte de toute la France.

L'alerte est-elle lancée de la place Beauvau ? Les populations menacées, prévenues ? Non car de longue date, dans les chiffrages criminels qu'il communique aux Français, l'intérieur n'avoue que les cambriolages des "habitations individuelles". Pourquoi ? Pour cacher à l'opi­nion la masse énorme des effractions réelles, dans notre pays.

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