
Source [Le Salon Beige] Depuis 9 semaines, les gilets jaunes dénoncent inlassablement le mépris du travail par Bercy, le mépris des citoyens par l’administration, le mépris des Français par le gouvernement.
Mais le mépris le plus fondamental, le mépris premier, cardinal, sur lequel repose toutes les injustices, c’est celui de la vie humaine.
Comment voulez-vous qu’une société qui ne respecte pas la vie humaine lorsqu’elle est à son commencement puisse respecter la vie humaine qui travaille, qui se déplace, qui vote, qui paye, qui apprend, qui soigne, qui éduque ?
L’éthique qui devait protéger la vie – la bioéthique – est devenue un champ de bataille idéologique. Dans cette bataille-là, ce sont toujours les mêmes qui gagnent, et toujours les mêmes qui perdent. Les lois successives, de révision en révision, prétendent “réguler” les pratiques médicales mais ne font en fait que d’avaliser les pires pratiques :
- Banalisation de l’avortement
- Tri des embryons humains
- Eugénisme des personnes trisomiques
- Manipulation du génome
- Industrialisation de la procréation artificielle
Ce sont toujours les mêmes qui gagnent, toujours les mêmes qui perdent.
La révision de la loi de bioéthique annonce de nouvelles transgressions (massification de la PMA, libéralisation totale de la recherche sur l’embryon, extension des politiques eugénistes, marchandisation du corps de la femme).
Cette année, les Marcheurs pour la vie mettent l’accent sur la liberté de conscience des professionnels de la santé, menacée par des propositions de loi et des propos irresponsables des politiciens actuels.
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