Bioéthique
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Les juges torpillent la loi anti-Perruche
Thème : Bioéthique
L’agence d’information Genethique s’alarme de l’arrêt du 15 décembre 2011 de la Cour de cassation qui remet en question le dispositif de la législation anti-Perruche et désavoue les récentes décisions du Conseil d’Etat et du Conseil Constitutionnel. La menace d’un « droit à ne pas naître » ressurgit.
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La Cour de cassation cherche à pérenniser la jurisprudence Perruche
Thème : Bioéthique
La Cour de cassation affirme que des enfants, nés avant l’entrée en vigueur de la loi anti-perruche (4 Mars 2002) , pourraient être indemnisés d’un préjudice d’être né. Cette indemnisation représente un « déni de sa personne et sa mort symbolique » selon Monsieur Jerry Sainte Rose, avocat général à la Cour de cassation au moment de l’affaire Perruche en 2000 et ancien conseiller d’Etat.
Cette décision se fait anormalement discrète alors qu’elle est parfaitement inconstitutionnelle, et que cette reconnaissance du « préjudice d’être né » porte atteinte à la dignité de la personne handicapée. Elle avait d’ailleurs pour mémoire fait largement scandale à l’époque, et avait généré une véritable levée de bouclier à la fois médiatique, politique et associative. Le dispositif « anti-Perruche » avait alors empêché la reconnaissance d'un tel préjudice et la décision du Conseil Constitutionnel s'y était également formellement opposé, pour des raisons éthiques et juridiques.
La Fondation Jérôme Lejeune publie à ce sujet une note d'analyse que nous restituons ci-dessous qui explique les transgressions et graves conséquences de ce récent arrêt, et revient brièvement pour rappel sur les développements de cette affaire.
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9 milliard d'homme à nourrir en 2050
Thème : Bioéthique
7 milliards d’humains aujourd’hui, 9 milliards en 2050. Sera-t-il possible de les nourrir ? Deux scénarios et un préalable… éthique et politique.
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Longue Marche pour la Vie
Thème : Bioéthique
A l’issue de la marche pour la vie du 22 janvier dernier, Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation Jérôme Lejeune, a prononcé une allocution où il revient sur les lois bioéthiques et sur les très graves atteintes au respect de la vie qu’elles légalisent.
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Face à la déshumanisation : une écologie humaine (2/2) – Recommandations
Thème : Bioéthique
Après avoir montré qu’il manque aux politiques « une vision anthropologique globale, systémique et cohérente de l’écologie », Jean-Marie Le Méné trace les axes d’une véritable écologie humaine.
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Face à la déshumanisation : l'écologie humaine (1/2) – Etat des lieux
Thème : Bioéthique
Pour Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation Jérôme Lejeune, il manque aux politiques une vraie anthropologie de l'Homme. L’homme n’est pas un prédateur de la nature et la terre nourricière peut largement nourrir une humanité encore beaucoup plus nombreuse qu’aujourd’hui. L’homme peut en revanche en être un bon ou un mauvais intendant. C’est donc lui et son comportement qui doivent être au centre de la question écologique.
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Protection de la vie humaine : bilan du quinquennat et perspectives (3/3)
Thème : Bioéthique
Troisième volet de notre étude sur le quinquennat écoulé en matière de respect du droit à la vie : l’interruption volontaire de grossesse (IVG). Contrairement aux questions de bioéthique et d’accompagnement des malades en fin de vie, on peut estimer que le bilan de la majorité est nettement négatif.
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Droit de « mourir dans la dignité » : un consentement impossible à obtenir
Thème : Bioéthique
Le droit à mourir dans la dignité ne serait-il pas une forme de soi-disant « tuer pour le bien » ? Et si c’est le cas, est-ce que cela ne vous rappelle rien ? Démonstration.
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Euthanasie : Les raisons cachées
Thème : Bioéthique
Sur la question de l’euthanasie, beaucoup de choses ont été dites : l’aspect moral (quel droit à attenter à la vie ?) ou médical (où se trouve la limite entre sauver la vie, aider à vivre, laisser mourir ou faire mourir ?) ont été largement débattus. Mais il y a une raison que nous n’osons regarder en face et qui fait son chemin, c’est celui des relations intrafamiliales, entre les enfants et leurs très vieux parents.
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L'écologie humaine dans ses implications ultimes: sobriété, solidarité, respect de la vie.
Thème : Bioéthique
L’écologie humaine n’entend pas simplement introduire une pensée humaniste dans les questions écologiques. Elle est bien plus que cela. Elle est une écologie intégrale qui absorbe dans un même élan de communion la personne humaine avec tout son environnement naturel et social. Théologiquement fondée sur l’universalité du salut qui embrasse tous les êtres vivants de cette terre et les ordonne au Christ, l’écologie humaine est un appel adressé à chacun d’entre nous pour qu’il reprenne conscience de ses responsabilités à l’égard du monde qui l’entoure. Elle est un décentrement, une redécouverte de la liberté intérieure et de ses responsabilités comme citoyen, qui doit nous conduire vers (1) un témoignage de pauvreté évangélique, (2) une sobriété choisie et vécue dans le partage, (3) une solidarité universelle en actes et (4) en définitive vers un amour inconditionnel de la vie, singulièrement celle des plus faibles.