Source [Causeur] : À l’instar de la municipalité, Sciences-Po Grenoble est un vivier de militants islamo-gauchistes. Les syndicats étudiants y exercent un régime de terreur sur les professeurs et la direction qui préfèrent ne pas moufeter, par opportunisme ou conviction. Vue l’ambiance, mieux vaut ne pas déplaire. Les professeurs Vincent Tournier et Klaus Kinzler en ont fait les frais. Première partie: témoignage de Vincent Tournier.
En mars 2021, Sciences-Po Grenoble a été secoué par un scandale révélateur de l’emprise de l’extrême gauche à l’université et des méthodes fascisantes avec lesquelles elle impose le silence et installe son pouvoir. Les noms de deux professeurs avaient été placardés sur la façade de l’école avec ce slogan : « Des fascistes dans nos amphis, l’islamophobie tue ». Leur tort : avoir osé dire que le terme « islamophobie » n’était pas scientifique et renvoyait au militantisme et non à une réalité sociale. Le rapport de l’inspection diligentée par le ministère suite à cette histoire évoque un climat de peur qu’un syndicat et son principal responsable ont installé au sein de l’institution sans susciter aucune réaction de la part de la direction. Causeur a voulu savoir ce qu’il était advenu des deux professeurs menacés de mort, Vincent Tournier et Klaus Kinzler.
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