Source [Causeur] : Le 19 avril, Sandrine Rousseau (EELV) était l’invitée de Sciences Po, à Reims. La députée a pu y asséner le discours dont nous allons parler sans rencontrer aucune résistance, devant un auditoire apathique, somnolent et résigné. Malheureusement, on sentait le public qui en a entendu d’autres… Pendant ce temps, on ne lui reparle pas de la bousculade imaginaire avec Eric Piolle ni de ses agissements contre Julien Bayou.
La conférence de Sandrine Rousseau se tenait en effet dans un IEP (institut d’études politiques), un de ces lieux dits de savoir dans lequel l’idéologie woke s’est substituée à ce dernier, a pris ses aises et se répand comme une mauvaise maladie.
Discours débilitants
Le wokisme contamine le monde universitaire. Les domaines les plus perméables à cette idéologie sont les sciences sociales, sociologie et sciences politiques en tête. Là où sont formées les futures « élites », universitaires, journalistes, hauts fonctionnaires, consultants, etc., le wokisme a fait son nid et prospère. Il espère ainsi que les différentes branches de son arbre doctrinaire pousseront dans la société tout entière. Sur l’une de ces branches, les adeptes du « racialisme » (cet antiracisme raciste) se targuent de débusquer le « suprémacisme blanc » un peu partout, y compris là où on s’attendrait le moins à le trouver.
Retrouver l'intégralité de l'article en cliquant ici
- Campagne à la découpe
- Pourquoi Sarah Knafo est-elle si peu invitée da...
- Tombera… Tombera pas?
- Boualem Sansal: ses propos sur le Sahara que l’...
- Une vague bleue
- SNCF: l’exemplaire ponctualité
- Harcèlement scolaire: ce que Gabriel Attal peut...
- Poitiers, Rennes, Marseille… la France orange m...
- L’Eglise catholique, piñata favorite de la gauche
- Doliprane: un symbole cher payé