Article rédigé par Jeanne Bourdillon, le 08 novembre 2017
contact[Nouvelles de France]un barbu à l’entrée, et une voilée qui donne des sacs à la clientèle…
Nous avons reçu ce texte d’un fidèle lecteur de Riposte Laïque, que nous préférons préserver, bien qu’il ait été prêt à signer cet article. Nous avons bien sûr vérifié l’information, et elle n’est pas contestable. Et nous vous la livrons telle quelle…
Jeanne Bourdillon
Cher Cyrano
Je suis passé cet après-midi dans le magasin de prêt-à-porter Uniqlo qui se trouve à l’Opéra en face des Galeries Lafayette, 17, rue Scribe, dans le 9e arrondissement de Paris.
https://www.uniqlo.com/fr/fr/store_locator_fr_Paris_Opera.html
J’ai déjà été très surpris à l’entrée du magasin. Un barbu, certes habillé à l’européenne, mais qui ne paraissait pas bouddhiste d’aspect, fouillait les sacs des futurs clients. Je n’ai pu m’empêcher de me dire que si je devais diriger un magasin, je ne ferais pas ouvrir les sacs par un homme d’aspect musulman, cela me paraît le minimum dans le principe de précaution. Mais je n’avais pas tout vu. Une fois rentré dans le magasin, j’ai été encore plus stupéfait. Une enfoulardée, quelques mètres plus loin, distribuait des sacs maison aux clients, pour qu’ils déposent dedans leurs éventuels achats.
Choqué, j’ai fait quelques photos avant de faire le tour du magasin, histoire de témoigner à Riposte Laïque de ce que j’ai vu, qui ressemble étrangement à l’histoire des caissières voilées de H&M, pour laquelle vous avez été condamné en première instance.
Une fois mon tour du magasin effectué (j’étais venu avec l’idée d’acheter, mais devant ce spectacle, hors de question que je leur donne un centime), et j’ai eu envie d’en faire une dernière en sortant. Gourmandise fatale ! Le barbu de l’entrée, que l’on peut imaginer de la même origine que l’enfoulardée, en me voyant, m’a sauté violemment sur le poil en me disant que je n’avais pas le droit de photographier dans ce magasin. Il m’a donné l’ordre d’effacer ma photo, de manière très agressive. Comme je refusai en le poussant vers la sortie, il est devenu violent en m’attrapant par mes habits pour m’empêcher de sortir et en appelant à l’aide avec son téléphone. La situation devenait très tendue. Finalement j’ai accepté de supprimer devant lui cette dernière photo. Ce que j’ai fait pour le calmer et pour que cette situation, qui commençait à faire un attroupement, cesse.
Le barbu n’avait pas vu que j’avais d’autres photos. Finalement, j’ai vu, par cette expérience, la réalité de l’islamisation de la France, et de ses entreprises, et la concrétisation des propos de Macron sur le voile dans l’entreprise.