Quelle stratégie contre la dictature des minorités ?

Source [Polémia] Par Pierre de Meuse, écrivain, essayiste et docteur en droit ♦ Les déboulonnages de statues, les manifestations anti-blanches ou encore les multiples silences médiatiques sur l’identité des racailles ayant récemment tué plusieurs Français… Tous les événements récents démontrent que la dictature des minorités est une réalité de plus en plus visible. Cette dictature des minorités était l’un des thèmes abordés lors du dernier Forum de la Dissidence organisé par Polémia le samedi 23 novembre 2019. Nicolas Faure avait en effet analysé les origines de cette dictature des minorités et les moyens de la combattre. Une intervention qui a inspiré Pierre de Meuse qui a souhaité apporter un éclairage différent à cette épineuse question : que faire face à la dictature des minorités ?

Lutter contre la dictature des minorités grâce à la science ?

La conférence organisée par Polémia en novembre dernier sous le titre « Dictature des minorités, origines et moyens de la combattre » méritait qu’on l’écoute attentivement.

Nicolas Faure, en effet, démonte les mécanismes de cette rhétorique mortelle avec beaucoup de clarté.
Comment ne pas tomber d’accord avec lui sur cette dictature des minorités ?
Et sur le lyssenkisme (1) des autorités morales qui s’obstinent à nier que la transmission biologique ait une quelconque importance sur la postérité des nations européennes ?
Comment ne pas être d’accord sur le fait qu’une France peuplée à 70 % d’habitants extra-européens ne serait plus la France ?

Là où je suis plus réservé et surtout moins optimiste, c’est sur la solution proposée pour détruire « l’édifice bancal » de l’antiracisme, à savoir le recours à la science. Or ses leçons sont sur ce point comme sur d’autres souvent hasardeuses.
Convoquer la science au tribunal de la pensée en matière d’anthropologie revient trop fréquemment à appeler à la barre un faux témoin professionnel. Les théories échafaudées par les savants, qu’ils appartiennent au clan indifférentialiste ou non, ont valu entre autres les analyses de John Langdon Haydon Down ou d’Adolphe Bloch qui voyaient dans le mongolisme une régression de l’a race blanche vers la race jaune.

En fait, les savants préfèrent le plus souvent leurs convictions aux conclusions logiques de leurs expériences. Nous avons toujours en mémoire la déclaration ébouriffante d’Albert Jacquard (2) qui osait écrire et répéter que s’il découvrait une preuve de l’inégalité des races, il se hâterait de la détruire.

Le QI, critère discutable

Certes, il existe depuis plus de cinquante ans des batteries de tests de QI dont les résultats sont invariablement concordants, mais ces travaux n’ont pas changé un iota à la dogmatique antiraciste, qui n’a jamais cessé de s’alourdir jusqu’à l’absurdité actuelle. Voilà pourquoi il semble exagérément optimiste de fonder trop d’espoir sur un retournement de l’opinion au vu de ces travaux.

Cela dit, cette réalité – l’imperméabilité de l’opinion aux raisonnements scientifiques – est aussi la conséquence de la prévalence des facteurs culturels. Les choix des tests se réfèrent, même involontairement, à des schémas propres à une culture donnée, celle de l’Europe, bien sûr. Dès lors les résultats seront toujours suspects de partialité, les européens ou leurs descendants étant supposés “avantagés” dans les problèmes posés.
En fait, les ethnologues mettent en lumière que chaque peuple a sa vision du monde, étanche à celle des autres peuples, et par conséquent sa propre échelle de valeurs. De plus il y a de nombreuses formes d’intelligence, ainsi que des liens entre l’intelligence et le caractère, que les tests en question sont bien incapables de déceler.

De toute façon, même si ces tests étaient véridiques, il ne faut pas en exagérer les bienfaits.  D’abord parce qu’il paraît peu probable que les groupes ethno-culturels auxquels ils sont « défavorables » se résignent à en accepter les conséquences, à savoir une réduction, en quelque sorte officielle de leurs chances à accéder à des postes élevés. Soyons honnêtes : nous ne les accepterions pas davantage qu’eux. L’erreur initiale a été d’accepter sur notre territoire d’énormes quantités d’allogènes que le nombre et le poids démographique transforment inévitablement en une puissance hostile. (3)

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