Source [Causeur] La Lutte des classes, le film de Michel Leclerc sorti le 3 avril, traite sur le ton de la comédie le « problème » de la mixité sociale dans les écoles de Boboland. Bien-pensant à souhait.
Cela fait désormais huit ans que le cinéma de Michel Leclerc s’est installé dans le PCF (Paysage de la comédie française), avec notamment deux œuvres emblématiques, Le Nom des gens, en 2010 et Télé Gaucho, deux ans plus tard.
Dans la première, l’héroïne (qui porte le même prénom, Bahia, que l’épouse et coscénariste du cinéaste, au cas où l’on aurait douté de l’implication des deux auteurs et de leur capacité à ne jamais voir plus loin que leur bout de leur confort intellectuel…) couche avec des hommes.
Retrouvez l’intégralité de l'article en cliquant ici
- Crocus City Hall: l’Etat islamique frappe en Ru...
- L’islamo-gauchisme de Sciences-po en passe de d...
- Va-t-on confier la mort aux bureaucrates?
- La société française ne se tient plus
- Stanislas et les hypocrites
- Défense et illustration de l’humanisme
- Hôpital: mort sans ordonnance
- L’imam tunisien, le drapeau national et Satan
- Robert Badinter: respect ou idolâtrie?
- «Le printemps» de Monet et les vandales de l’éc...