
Source [Le Figaro] : EXCLUSIF - Selon une enquête menée par l’Institut Terram et l’Alliance pour la santé mentale, la mobilité est, pour nombre de nos concitoyens, « source de stress, de fatigue chronique voire d’usure mentale ».
Reprendre le métro ou le bus au quotidien, pour aller de son domicile à son lieu de travail ? « Plus jamais », lâche Margaux. Marquée par ses longues années dans les transports parisiens, la trentenaire a troqué son passe Navigo pour un vélo électrique et ne reviendrait en arrière pour rien au monde, tant les transports en commun ont pesé sur son moral et sa qualité de vie. « Chacun doit trouver le moyen de locomotion qui lui correspond. Je connais certaines personnes qui ont trop peur pour faire du vélo à Paris, mais moi, ça a changé ma vie », renchérit Paul. Lui préfère pédaler à travers les rues de la capitale, y compris sous la pluie, après être trop souvent arrivé au travail énervé par de longs trajets passés en sous-sol sans voir la lumière du jour. « Je me souviens avoir violemment poussé une petite fille dans le RER uniquement parce que sa mère se pressait trop fort contre moi », avoue à son tour Géraldine. Pourtant elle-même mère de famille, cette quarantenaire est encore honteuse de cet élan d’agressivité.
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