Source [Le Parisien] La discipline disparaît du tronc commun à la rentrée en première et devient une option très exigeante. De quoi effrayer les élèves aux résultats fragiles.
Elio n’a aucun doute. L’an prochain, il prendra la spécialité maths en première. Mais l’élève, en seconde au lycée Maurice-Ravel de Paris (XXe), fait un peu figure d’exception dans sa classe. S’il a déjà arrêté son choix, c’est parce que ses notes dans la matière l’y encouragent et qu’il sait déjà parfaitement ce qu’il veut faire après le bac. « J’ai 19 de moyenne », glisse l’ado qui se verrait bien en école d’ingénieur.
Prendre ou ne pas prendre cette spécialité en première ? Pour d’autres, la question vire au casse-tête. Dans le cadre de la réforme du lycée, qui signe la disparition des filières traditionnelles, la discipline disparaît du tronc commun à la rentrée. « Il en reste une petite goutte, mais quasiment rien, distillée dans deux heures d’enseignement scientifique », souligne Alice Ernoult, présidente de l’Association des professeurs de mathématiques de l’enseignement public (APMEP).
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