Source [Valeurs actuelles] : L'idéologie dominante veut faire payer à l'hebdomadaire l'inobservance des critères de respectabilité qu'elle entend fixer, alerte le sociologue et essayiste Matthieu Bock-Côté.
C‘est une nouvelle campagne qui s’est levée pour frapper d’anathème Valeurs actuelles, pour en finir avec le journal ou, du moins, pour le contraindre à “changer de ligne” et à adopter un discours qui ne sera plus jugé scandaleux par la presse de gauche et ceux qui, parce qu’ils la craignent, prétendent partager les mêmes aversions qu’elle.
Il s’agit de faire un exemple, pour que tous sachent ce qui arrivera à qui défiera frontalement l’idéologie dominante. Pour être accepté dans l’intelligentsia, il faut savoir se rallier avec les bonnes formules de soumission : par exemple, on s’indignera rituellement de certaines couvertures en les jugeant de mauvais goût — je parle ici du mauvais goût idéologique consistant à déplaire aux journalistes de gauche qui conservent l’immense pouvoir de décider de ce qui est un scandale et de ce qui ne l’est pas. Dans la société médiatique, est souverain celui qui a le pouvoir et la capacité de décider que telle déclaration, telle prise de position ou telle une de journal est un scandale ou n’en est pas un.
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