
La Marche pour la Vie, qui rassemble en janvier les défenseurs de la vie, de sa conception à sa mort naturelle, a réuni quelques milliers de personnes, probablement entre 7 000 et 10 000, à Paris, le 19 janvier. Un cortège enthousiasmant a parcouru les rues de la capitale, et des interventions assez pertinentes ont ouvert et clôturé cet événement militant.
Pour le cinquantième anniversaire de la loi Veil, on aurait pu imaginer une participation plus massive, surtout à l’heure où les lignes bougent ailleurs, notamment aux États-Unis. Le maintien de la flamme par les organisateurs de cet événement, mais aussi par les milliers de personnes qui répondent présentes fidèlement chaque année, est un signe d’espoir. Il conviendra désormais de parvenir à enclencher une nouvelle dynamique pour casser ce tabou de la vie politique française.
Pour cela, il convient plus que jamais de s’appuyer sur nos propres forces : nos familles, nos écoles, nos associations et nos paroisses, et surtout ne rien attendre ni des élus, qu’il faudra contraindre, ni des évêques qui ne semblent pas vraiment concernés.
L’incertitude politique qui touche notre pays, mais aussi plus largement l’ensemble du monde occidental, doit être une source d’espoir, et nous devons peser de toutes nos forces pour défendre une vision chrétienne de la vie humaine.
Outre la mobilisation de janvier, le combat pour la vie passe par de nombreux canaux, et nous relayons ici l’initiative : « l’université de la vie », organisée par l’Alliance Vita, qui permet à tous de se former sur ces sujets éthiques.
Olivier Frèrejacques
Président de Liberté politique
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