Editorial
-
Mort de Philippine : deux France irréconciliables
L’assassinat d’une Française de 19 ans par un Marocain illustre une nouvelle fois l’importance du phénomène migratoire dans la criminalité. Les réactions à cette affaire séparent la France en deux : ceux qui s’indignent et sont en colère, ceux qui s’en moquent ou pire qui défendent un modèle de société incluant toujours plus d’étrangers.
-
Gouvernement Barnier : un patchwork pas pire mais sans saveur
Il n’y avait pas grand-chose à attendre du gouvernement Barnier. Nous ne serons pas déçus. Avec une majorité de ministres macronistes et quelques cautions venues de la droite LR, le nouveau Premier ministre a composé avec les moyens du bord. Une question est désormais sur toutes les lèvres : combien de temps cet arrimage centriste peut-il tenir ?
-
Politique : les années « Insoumis »
La France Insoumise n’est pas seulement un mouvement politique, c’est une méthode d’action, un état d’esprit. De sa création en 2016 au Nouveau Front Populaire, cette machine trotsko-indigéniste a fait du chemin et pourrait déjà avoir connu son âge d’or.
-
Verticalité, appauvrissement intellectuel : le mauvais génie des néo-partis
Les récentes sorties politico-médiatiques du député Insoumis Sébastien Delogu ont mis en exergue l’effondrement du niveau intellectuel du personnel politique. Derrière ce phénomène, s’observe un déclin global mais aussi un fonctionnement des partis qui tire toujours plus vers le bas.
-
La tripartition du paysage politique français
Les dernières élections législatives de juillet ont consacré la présence de trois blocs dans le paysage politique français. Une répartition des forces parlementaires assez inédite dans un pays habitué au bipartisme qui avait déjà été bouleversé par l’arrivée du parti centriste En Marche en 2017.
-
Rats des villes, rats des champs, le faux clivage revient à la mode
Dire du mal de Paris et des politiques centralisées est un sport national en France. Cela permet à l’occasion, pour un personnel politique bien introduit, de jouer la carte de l’enracinement.
Derrière ces marqueurs souvent très superficiels, se cache une réalité du pouvoir qui n’est finalement que très peu évoquée : l’absence de décentralisation.
-
Barnier : le choix allemand de Macron
Comme prévu, Emmanuel Macron a pris tout le monde à contre-pied en nommant son chef de gouvernement. Face à une gauche qui s’en tenait à l’unique candidature de Lucie Castets, le président a pris l’option droite et tente d’imposer la culture du compromis en France comme elle peut exister en Allemagne.
-
Poussée nationaliste : l’Allemagne dit « Raus » à la gauche immigrationniste et bruxelloise
Les élections locales dans deux Länder allemands de l’Est ont consacré de très bons scores pour les nationalistes de droite de l’Afd et ceux de gauche du BSW. À un an des élections législatives, l’un des deux plus importants pays de l’Union Européenne pourrait connaitre des mutations profondes.
-
Mougins, un drame pour les Français
Le décès d’un gendarme tué par un étranger « connu des autorités » rappelle l’ensauvagement du pays à ceux qui l’auraient oublié pendant la parenthèse estivale.
Les raisons de la mort de l’adjudant Comyn, victime de l’immigration et de la gauche judicaire, ont été expliquées par sa veuve qui n’a pas mâché ses mots lors d’un hommage
-
Malaise identitaire de Paris à Washington
La question « identitaire » n’a de cesse d’être évoquée depuis deux décennies. C’est peut-être l’un des indicateurs les plus impressionnants du déclin occidental. Signe d’une perte de repères, elle recouvre des éléments divers allant des lubies « sociétales » à l’immigration en passant par l’appartenance religieuse.